• Assemblée des 15!

     

    Said Benameur 

    Qui contrôle les finances de l’État ?

    La commune de Mechtras à la recherche du réseau d’assainissement récemment réalisé par l’opération de démolition totale du tapis goudron fraîchement réalisé et on se demande finalement qui contrôle les finances de l’État afin d’assurer la régularité des opérations financières et le bon emploi des fonds ! La crise économique touche-t-elle les plus démunis?

    Mourad Benameur Travail ARAB 

     


     

     

     

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  • Ait Imghour veulent faire avancer la commune

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  • Par DDK |LE 09 NOV 2016

    BOUDERBALI AFFLIGÉ PAR L’ENVIRONNEMENT HIDEUX, À MECHTRAS

    «C’est une honte pour la commune»

    Le wali de Tizi-Ouzou, M. Bouderbali, a conduit, avant-hier, une forte délégation pour aller inspecter et inaugurer plusieurs projets dans la localité de Boghni.

    Il était accompagné du P/APW Mohamed Klaleche, de nombreux directeurs de l’exécutif de wilaya, d’autres élus locaux ainsi que des représentants des autorités civiles et militaires de la daïra de Boghni. Une visite qui a permis au wali de faire l’état des lieux à travers les quatre communes qu’il a eu à visiter. Lors de ce déplacement, le wali a inauguré quatre maisons de jeunes avec toutes les commodités, mis en service le réseau de gaz à Bounouh et a promis d’accorder le crédit nécessaire pour l’achèvement du nouveau siège de l’APC d’Assi Youcef. A la fin de la visite, Bouderbali indiquera à la presse : «Notre visite est axée sur l’ouverture de structures de jeunes. L’objectif est de mettre à la disposition de la masse juvénile des espaces culturels, scientifiques et sportifs. Cela pour les extraire à la délinquance et aux fléaux sociaux que tout le monde connaît. Nous avons aussi mis en service le réseau du gaz à Bounouh, une région reculée et en haute altitude. Un vrai miracle ! Qui aurait dit que le gaz arriverait jusqu’au sommet du Djurdjura ? L’Etat n’a pas lésiné sur les moyens pour améliorer le quotidien de la population. Nous avons aussi accordé de l’importance à l’investissement dans la zone d’activité de Boghni. Nous encourageons les investisseurs, car c’est la seule alternative qui nous reste pour développer notre wilaya et notre pays. Nous avons, hélas, eu à constater l’ampleur des dégâts que subit l’environnement. Tous le monde est interpellé, et le citoyen en premier, en vue de redonner à notre belle wilaya son prestige de propreté». Pour sa part le P/APW indiquera : «notre détermination est forte pour accompagner le développement de cette région et de toute la wilaya. Le constat n’est pas reluisant tant les problèmes sont divers. Nous interpellons l’ensemble des acteurs concernés à plus de mobilisation et d’efforts, et ce, afin d’améliorer l’état des lieux. Nous demandons aussi le dégel de tous les projets structurants, ainsi que la concrétisation des zones d’activités et des zones industrielles». Abderrahmane Iltache, directeur de la jeunesse et des sports, trouvera de son côté que l’année 2013 «a été l’année des inscriptions. 2016 et 2017 seront des années de réception, au grand bonheur de la population».

    Le nouveau siège de l’APC a déjà englouti 4 milliards et le chantier s’éternise

    Accueillie avec la troupe musicale traditionnelle, la délégation a, dans un premier temps, inauguré la nouvelle maison de jeunes de type 3, une belle structure avec toutes les commodités, internet y compris, une maison inscrite en mars 2011 pour une autorisation de programme de 1,8 milliards. La maison en R+1 est dotée d’un magasin, un atelier, une salle de club, des salles spécialisées et d’une salle polyvalente. A l’étage, on retrouve un bureau, une bibliothèque, un atelier et un logement. En somme, une structure commode. Toutefois, lors de la présentation de la fiche technique, Le wali n’a pas manqué d’égratigner les autorités locales au sujet des déchets et des monticules de cannettes sur les abords de la route.
    «C’est l’image de marque de la commune et des autorités qui prend un mauvais coup. Il suffit d’un camion et de quelques agents pour ramasser tout ca ! C’est une honte ! La nature est généreuse, mais nous ne faisons rien pour la préserver», déclare-t-il. Poursuivant sa visite sous une pluie battante, Bouderbali est emmené au nouveau siège de l’APC en construction depuis plusieurs années. Un projet qui a déjà englouti 4 milliards de centimes, mais qui ne s’achève toujours pas, ainsi, Les aménagements externes et internes, le mur de clôture ne sont pas encore réalisés. Le wali a été interpellé par un représentant des citoyens sur la nécessité de la réalisation de la station d’épuration inscrite au profit de Mechtras. «Notre commune est une région hydrique par excellence, mais la pollution commence à atteindre les puits, les eaux sous terraines et les oueds. Il nous faut cette station d’épuration avant que le mal ne se généralise», ajoute-t-il. A signaler que le chantier de la bibliothèque communale et celui des 100 locaux commerciaux n’ont pas été au programme de la visite.

    Assi Youcef a désormais sa maison de jeunes

    A Assi Youcef, une commune rurale de haute montagne, le wali a inauguré la nouvelle maison de jeunes. Une structure inscrite en 2012, dont le montant après avenant est de 26 654 996 DA et construite en R+1 avec toutes les commodités. Au chantier du nouveau siège de l’APC, qui a atteint 80% d’avancement, les autorités locales ont demandé deux cagnottes de 5 et 8 millions de dinars. La première pour achever le siège et la seconde pour l’élargissement de la route menant à ce nouveau siège. Poursuivant son périple, Bouderbali atterrit à Ath Mendes, un village limitrophe avec Assi Youcef, mais qui fait partie de la commune de Boghni. Là aussi, au grand bonheur des villageois, c’est une maison de jeunes qui est inaugurée. Une maison inscrite en 2012 pour une autorisation de programme de 42 800 000 DA. Toutes les commodités sont déjà disponibles, sauf que «l’internet n’est pas encore branché», fera remarquer une des employées. «Ces maisons sont une bonne chose pour les jeunes, mais il ne faudrait pas qu’elles ferment à 17 heures. Il faut voir comment les ouvrir au delà de 17 heures, c’est à cette heures-ci que les jeunes en ont besoin», insistera le wali auprès des responsables du secteur. Plus loin, au chef lieu de Boghni, et en allant vers le CET, c’est le chantier de la réalisation de 538 logements qui a été programmé. Un projet encore au stade de terrassement, dont un lot de 113 logements non entamé. «Nous constatons qu’il y a beaucoup de retard. Le taux n’avoisine même pas 4%. Il faut, donc, prendre les choses au sérieux et renforcer le chantier pour concrétiser ce projet. Les postulants et autres bénéficiaires attendent», indiquera le P/APW au responsable du projet. Au niveau du centre d’enfouissement technique, un projet inscrit en 2012, pour une autorisation de programme de 284 000 000 DA, soit un CET qui s’étale sur 75 707 m2 et qui concernera 8 communes de la région englobant 150 000 habitants a été mis en service il y a un peu plus d’un mois. Il accueille actuellement 105,7 tonnes par jour. Sa durée de vie est estimée à huit ans. «Il faut, à tout prix, procéder au tri des déchets, non seulement pour prolonger la durée de vie de ce CET, mais aussi pour lancer la récupération des déchets qui peut contribuer à la création de la richesse ainsi que de l’emploi», dira le wali.

    La piscine semi-olympique, un projet à ses débuts…

    Le projet portant réalisation d’une piscine semi olympique à Boghni, dont le montant du marché après avenant s’élève à 210 837 016,55 DA et le délai de réalisation est revu à 22 mois, est en souffrance et pour cause, l’état d’avancement n’est pas encourageant, puisqu’il n’est qu’au stade de travaux de base. Des contraintes rencontrées sur le terrain, comme la rivière qui passe juste à côté, ont visiblement retardé l’avancement du projet. Une virée du côté de la zone d’activité a permis à la délégation de visiter l’entreprise Hargaz qui fabrique du treillis à souder, des poutrelles légères, du fil d’attache, du fil galvanisé et des clous. La production actuelle de cette entreprise privée est de 17 000 tonnes/an. 500 emplois directs et indirects sont créés. Concernant le fil galvanisé, l’unité produit 8000 tonnes/an. «La production peut monter, jusqu’à 14 000 tonnes/an après le projet d’extension envisagé, mais qui est tributaire de l’attribution du lot 86», indiquera un des responsable. Et d’ajouter: «Nous avons des problèmes en approvisionnement en matière première comme nous butons sur le mauvais état de la chaussée et l’indisponibilité d’eau et du gaz». Le wali n’a pas manqué de répondre par l’affirmative de l’attribution du lot 86 si la faisabilité est possible. Concernant la zone d’activité de Boghni, elle regroupe 85 lots, dont 31 affectés et exploités, 3 lots sont réservés à la SOGI et 9 sont disponibles. Après cette escale, c’est de nouveau la montée vers la commune de Bounouh, où une quatrième maison de jeunes de type 3 a été inaugurée. Cette structure de 460 m2, construite pour une AP finale de 59 500 000 DA, dispose de toutes les commodités sauf de l’internet qui reste à brancher. Un peu plus loin, ce sont 587 foyers qui peuvent être branchés au gaz naturel, puisque la torche a été allumée et un foyer témoin visité. Le gaz pour 1029 autres foyers est en cours de réalisation. Une fois achevé, ce seront 12 autres villages qui bénéficieront de combustible. Pour terminer son périple, le wali et sa délégation ont rendu visite au mausolée du Cheikh Ben Abderhmane Bou Qabrine et au mausolée de Sidi Ali Ouyahia, avant de déposer une gerbe de fleurs au carré des martyrs du village d’Ath Kouffi.

    Compte rendu de Hocine Taib

     

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  • Brahimi Salah évoque la politique nationale à Mechtras

     
     
     

    À l’initiative de la section de Rassemblement pour la Culture et la Démocratie (RCD), de la commune de Mechtras, une conférence-débat, a été organisée, vendredi 24 juin, à la maison de jeunes de ladite localité et animée par le Maitre Brahimi Salah, membre de conseil national du parti.

    Le conférencier à l’entame de son intervention, a indiqué que le mois de juin a laissé une tache noire dans l’histoire algérienne. Ce mois est marqué notamment,  par l’assassinat de deux grands hommes qui ont milité pour la liberté d’expression et combattu contre la corruption à savoir : le chanteur Matoub Lounès et l’ex président Mohamed Boudiaf.

    L’intervenant a mis ensuite, en exergue la situation de la politique actuelle du pays, en évoquant l’officialisation de Tamazight que M. Brahimi considère loin de statut réservé à langue arabe. « D’ailleurs l’Algérie a organisé deux manifestations culturelles en l’occurrence : Tlemcen capitale de la culture islamique et Constantine capitale de la culture Arabe, sans aucun événement sur Tamazight, c’est une preuve que le pouvoir a pris cette décision pour uniquement, calmer le peuple » A-il-précisé.            

    Par ailleurs, l’orateur a mis l’accent sur ce qu’il a appelé « le scandale de retour de Chakib Khelil » qui est revenu au pays malgré un mandat d’arrêt délivré contre lui. « Cet homme a été impliqué dans des affaires scandaleuses, il avait même un mandat d’arrêt délivré contre lui, et comment aujourd’hui il est de retour au pays ? Je salue le courage des hommes Kabyles qui ont empêché sa visite aux Zaouïas de notre région», a-t-il ajouté.

    A la fin, le membre de conseil national est revenu sur l’affaire de l’annulation de rachat de groupe El-Khabar par l’homme d’affaire Issad Rebrab et la plainte déposée contre lui par le ministre de la communication Hamid Grine « quand ils ont vu un investisseur propre  et qui a crée beaucoup de postes d‘emploi dans différentes wilayas, malheureusement ils l’empêchent à chaque fois de travailler parce qu’il n’est pas de leur clan»,  a-t-il conclu.    

    Toufik Larbani

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  • SIN N WAWALLEN

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  • Par DDK | 19 mars 2016

    Tizi-Ouzou Plusieurs opérations approuvées par l’assemblée

    L’APC de Mechtras débloquée ?

    L’assemblée populaire communale de Mechtras, au sud de la vile de Tizi-Ouzou, bloquée depuis quelques semaines pour la deuxième fois depuis le début du mandat en cours, est enfin débloquée depuis la semaine dernière. En effet, le maire a organisé une session pour soumettre à l’assemblée plusieurs opérations. Il s’agit d’une opération de 3,5 millions de dinars pour l’acquisition et l’installation de la plateforme biométrique au niveau du nouveau siège communal, des PCD de 2016, des VRD du nouveau futur siège de l’APC, du budget prévisionnel, de la fixation de la taxe sur l’enlèvement des ordures ménagères et d’une subvention de wilaya pour l’achat de bacs à ordures et de l’aménagement des sources. Si pour les PCD 2016, la subvention de wilaya, les VRD et le BP, l’OK des élus s’est fait à la majorité, ce n’est malheureusement pas le cas pour l’opération d’acquisition de la plateforme biométrique qui a été rejetée par neuf voix contre 6. Les élus ont proposé une opération d’assainissement. Les élus ont aussi brandi leur véto pour la fixation de la taxe concernant l’enlèvement des déchets ménagers. De cette manière, l’assemblée est normalement débloquée. Mais à voir la méfiance, l’atmosphère pesante et le climat général qui règne à l’assemblée de Mechtras, il n’est pas dit qu’un troisième blocage n’aurait pas lieu. Signalons qu’à présent, le FLN conduit à lui seul les commandes de l’APC puisque la présidence de l’APC et les vice-présidences sont confiées aux élus du plus vieux parti qui ne détient pas la majorité (5 lus sur 15). Les élus de son allié du FFS (4 élus sur 15) se sont contentés de la présidence de deux commissions, ce qui n’est pas du goût des élus du parti de feu Si El Hocine, qui voient ainsi leurs deux vice-présidences occupées depuis le début du mandat s’éloigner et les 6 élus issus de l’opposition (RCD) ne rateront pas une éventuelle occasion pour revenir au devant de la scène. Il est fort à parier que le déblocage de l’APC de Mechtras ne fera pas long feu et comment, puisque même au sein du parti aux commandes le courant ne passe plus entre les élus. Dans tous les cas, les jours à venir seront révélateurs.

    Hocine T.

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    Par B. T. | 9 Juin 2012

    Mechtras : Un élu de l’APC blesse un citoyen


    Un élu de l’APC de Mechtras s’en est violemment pris à un jeune homme de la localité, qu’il a blessé au visage avec une plaque de marbre, lors d’une dispute survenue entre les deux hommes, jeudi dernier vers 7h30, dans une librairie de la ville, a-t-on appris de sources confirmées. Selon des témoins présents sur les lieux, l’incident s’est produit lorsque la victime, Lekadir Youcef, a commencé à critiquer à haute voix les membres de l’exécutif communal qu’il a accablés de reproches. Se sentant volontairement visé par les accusations, le 2e vice-président de l’APC, qui se trouvait dans le magasin pour, semble-t-il, acheter le journal, s’est alors emparé d’une plaque de marbre qui se trouvait sur le comptoir, pour asséner un coup au visage de sa victime, lui causant des blessures, et une incapacité totale de travail de 15 jours, précise-t-on de même source. Vers 20 heures de la même journée, ajoute-t-on encore, les deux hommes se sont rencontrés de nouveau à la sortie est de la ville, près du stade communal. L’élu de l’APC aurait alors, selon des témoins présents sur les lieux, usé d’une arme blanche, blessant cette fois-ci la victime au niveau du coude. Le jeune homme a porté plainte auprès de la brigade de gendarmerie de Mechtras, conclut-on. Pour rappel, pas plus tard que le mois dernier, un élu de la même assemblée communale a été agressé par le P/APC de Mechtras, en plein centre-ville devant la population médusée. Le maire lui reprochait d’avoir dénoncé la veille par voie de presse, la non-réhabilitation par l’exécutif, de la fontaine de Tala Uguelid, saccagée en 2011 par un groupe de personnes.

    B. T.

     

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  • Par DDK | 27 fev 16

    Mechtras Encore une AG reportée faute du quorum

    L’APC de nouveau bloquée

     

    L’APC de Mechtras, au Sud du chef-lieu de wilaya de Tizi-Ouzou, retombe, encore une fois, dans ses travers. Elle vient d’être bloquée.

    Et cette fois, le blocage est parti pour durer dans le temps au grand dam de la population qui aspire à plus de développement et à l’amélioration du cadre de vie dans leur localité au lieu d’assister à ce feuilleton politique à plusieurs épisodes. Signalons qu’au mois de septembre dernier, le P/APC a appelé à deux reprises à une session de délibération concernant l’adoption le budget prévisionnel. À la première invitation, la majorité des élus n’ont pas fait le déplacement, le quorum n’étant pas atteint, la séance fut levée. La deuxième session qui s’est tenue quelques jours après, le quorum étant atteint mais la majorité a rejeté l’ordre du jour proposé. Le blocage commençait de nouveau à se dessiner. Les élus de l’opposition (6 RCD, 3 FLN et 1 FFS) demandent par deux fois en janvier dernier, l’organisation d’une session extraordinaire pour discuter de la situation générale de l’APC. L’appel n’a pas été entendu. Le 24 février dernier, le P/APC a invité les élus à une assemblée générale extraordinaire dont l’ordre du jour portait sur l’adoption du BP, le plan ORSEC, les budgétisations, la fixation des taxes relatives à l’enlèvement des ordures ménagères et les divers. 6 élus de l’opposition (RCD), 2 élus du FLN et un autre du FFS ne se sont pas présentés. Le quorum n’est, une nouvelle fois, pas atteint. Le maire lève la séance. L’APC est de nouveau bloquée. Rappelons qu’un PV de carence a été rédigé et transmis à la tutelle qui devra trancher sur l’avenir du fonctionnement de l’APC de Mechtras. Et signalons, aussi, que c’est le deuxième blocage après celui du mois de mai 2015 qui a perduré jusqu’au 20 septembre de la même année. Précisons que M. Malik Edjkouane, élu à l’APC et candidat malheureux du parti du FLN aux dernières sénatoriales précisera : «Au premier blocage, je n’ai jamais été avec l’opposition, je n’ai à aucun moment fait pression sur quelque élu que ce soit pour voter contre le BP, et mes procurations ont été toujours faites au P/APC». Rappelons que pour l’actuel blocage, le concerné a boudé l’assemblée et n’a pas répondu à l’invitation du maire.

    Hocine T.

     

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  • Par DDK | Il ya 1 heure | 163 lecture(s)

    MECHTRAS DES TRAVAUX POUR L’AMÉNAGEMENT URBAIN LANCÉS TRÈS BIENTÔT

    C’est enfin l’embellissement du chef-lieu

    «Le chef-lieu de Mechtras, au Sud de la ville des Genêts, est en voie d’être relooké et de la plus belle des manières», indiquera le P/APC, M. Tebbakh Arab.

    En effet, l’APC a retenu deux opérations d’envergure, à savoir la réalisation des trottoirs avec en plus des bornes et la pose de pavés sur un linéaire de 1 000 mètres. Il est aussi question de la réalisation de 4 abris bus au niveau du chef-lieu. «Notre chef-lieu n’a presque jamais bénéficié de travaux de l’amélioration urbaine. Jusqu’ici, la DUC ne nous a attribué aucun projet dans ce sens. Nous avons alors, pour améliorer l’état des lieux au niveau de la ville, retenu deux grandes opérations dans le cadre des PCD 2015, à savoir la réalisation de trottoirs et d’abris bus comme première opération et nous avons aussi décidé de réaliser un projet d’éclairage public sur le budget communal. À présent, les travaux sont lancés», déclarera-t-il. À souligner aussi que la direction de l’urbanisme et de la construction y a affecté un projet d’aménagement de la voirie sur un linéaire de 2,5 kilomètres. Les ruelles de la périphérie, comme Ikharvane, la vallée Attaf, les travaux de revêtement en béton bitumineux sont en voie d’achèvement. Cette première opération du genre à Mechtras a été bien accueillie par la population qui espère légitimement à un cadre de vie meilleur. Le maire de Mechtras que nous avons justement questionné à propos de ces travaux notera : «Ce n’est là qu’une première opération. Nous allons faire des démarches auprès de la DUC pour nous accorder un véritable projet de l’aménagement urbain qui redonnera à notre ville son lustre d’antan». À noter que pour le moment, la ville de Mechtras est dans un état chaotique. Ce n’est certainement pas les petites opérations entrant dans le cadre des PCD qui lui donneront une image à la hauteur des aspirations des habitants. C’est dire que les services de la DUC sont appelés à regarder du côté de cette belle région, comme elle l’a fait pour plusieurs autres régions de la wilaya.

    Hocine T.



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  • Par DDK | 7 fev 2016

    Mechtras Dépistage des maladies chroniques à la Maison des jeunes

    Plus de 200 personnes examinées

    En collaboration avec l’association de prévention et d’éducation pour la santé (APES) de Draâ El-Mizan et la Maison des jeunes d’Assi Youcef, une campagne de prévention et de dépistage des maladies chroniques, à savoir le diabète, la tension artérielle, le cancer du sein et l’obésité, a été organisée hier samedi. À cet effet, deux médecins ont été réquisitionnés pour assurer l’opération. L’affluence était nombreuse. D’ailleurs, vers 11 heures, les listes ont été clôturées au grand dam de plusieurs personnes venues se faire ausculter et qui n’ont pas pu le faire. Dans tous les cas, deux cent personnes ont été examinées. Les diabétiques en plus des conseils qui leur sont prodigués, ils ont aussi bénéficié de glucomètres. La vice-présidente de l’association organisatrice indiquera à propos des objectifs assignés à cette opération : «Ce genre d’activité fait partie de notre programme d’action. Dans la région, les malades chroniques ne sont pas correctement pris en charge car les spécialistes se font très rares. Nous contribuons aussi à dépister les nouveaux malades pour les orienter et les sensibiliser, car une maladie chronique ne signifie pas automatiquement la fatalité». À signaler, la Maison des jeunes de la commune voisine d’Assi Youcef a également participé à cette action en installant une cellule d’écoute pour justement plus d’explications et la prise en charge psychologique des malades, notamment les nouveaux cas. M. Larbani, directeur de la Maison des jeunes Mechtrassienne que nous avons questionnés à ce sujet, notera : «Dans notre région, plusieurs personnes sont atteintes du cancer du sein, de la tension artérielle et d’autres maladies chroniques, mais elles ne le savent pas. Elles ne prennent conscience de leur maladie qu’une fois le mal aggravé. C’est malheureusement parfois trop tard. C’est pourquoi nous avons tenu à organiser cette campagne de dépistage pour éviter les complications de ces maladies».

    Hocine T.

     

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  • Le poète Ali n’bouarour sauvé de l’oubli

    Le docteur Mustapha Ben Tahar dit Youcef Nath Si El Hocine, vient de sortir un livre intitulé Ali N’bouarour successeur de Si Mohand Oumhand, de 184 pages sur la vie et la disparition tragique du poète adebbal (poète tambourineur), Ali N’bouarour. Un poète qui a vécu au début du siècle précédent dans la commune de Mechtras. De son vrai nom, Harbit Ali, le poète est né en 1879 selon un acte établi en 1891 à Draâ El Mizan. Ali le bossu chantait les louanges du prophète car en Kabylie, le prophète a toujours été vénéré. Ce poète mourut le 29 janvier 1929 à l’âge de 50 ans, par un temps glacial avec en plus, une épaisse couche de neige atteignant par endroits 3 mètres. D’ailleurs, selon l’écrivain, le poète fut enterré à l’intérieur de sa demeure. Ce recueil de poèmes a pris plus de 12 ans de recherche. A ce sujet, l’auteur de cet ouvrage, Dr Ben Tahar que nous avons rencontré dans son cabinet médical, notera : «Depuis ma tendre enfance, j’ai aimé la poésie. En 1972 alors que je n’étais que lycéen, j’ai commencé à fouiner dans la vie de ce grand poète oublié. J’ai alors sillonné plusieurs villages de la région des Ouadhias, de Boghni et de Maâtkas dans l’optique de recueillir les poèmes de Ali n’bouarour. J’ai sollicité toutes les personnes âgées et les petits enfants du poète pour rassembler, puis comparer et enfin avoir les vraies versions des poèmes composés par le poète. C’est un travail de longue haleine, mais qui valait la peine. Car le poète avait plusieurs ressemblances avec Si Mohand Ou Mhand. Ils avaient tous les deux la même instabilité religieuse. Leurs poèmes sont plein de sagesse, de messages et d’enseignements, et ils ont tous deux connu l’errance. La culture orale prévalait en ces temps, les gens n’apprenaient que ce qui est bien fait et bien dit. Sans aucune formation spécialisée, j’ai dû travailler ardemment pour en arriver à ce résultat. Maintenant que le livre est sur le marché, c’est aux lecteurs d’apprécier ou de déprécier son contenu». De toutes les manières, ce livre a au moins le mérite de sortir de l’oubli un poète de la région de Mechtras. Le sud de la wilaya de Tizi-Ouzou recèle des merveilles artistiques et poétiques. Mais il faut encore des hommes comme Dr Ben Tahar pour creuser et effectuer des travaux de recherches qui tireraient de l’anonymat ces œuvres des siècles précédents. Le sud est une forêt vierge, il faut juste un peu de travail et de sérieux pour en sortir ses trésors. Au sud, il n y a pas que Dda Slimane Azem, El Hasnaoui et Lounès, il y a aussi et depuis la nuit des temps d’autres artistes et poètes de haute facture. Les anthropologues, les chercheurs et les écrivains y trouveront sûrement de quoi satisfaire leur curiosité et leur goût. Le livre du docteur Ben Tahar contient plus de 85 poèmes écrits en Kabyle et interprétés en Français pour faciliter la tâche aux lecteurs. Une œuvre à lire, à relire et à faire lire. Dans un de ses poèmes intitulé La vie contrariante, le poète disait déjà au début du 20e siècle : Quel drôle de coup qui m’a touché ? Dans mon coeur persiste sa blessure. Le cheval a laissé son élan, c’est le mulet qui a pris la relève. Le marabout a abondonné son ardoise, c’est l’esclave qui l’a prise ! En kabyle, cela donnera : A tiyita dgi yersen, deg uliw tezga chama, Aewdiw idja lghira D ajehmum it inuqlen, Amrabed idja talweht, D akli it irefden.

    Hocine Taib

     
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  • Par DDK | Il ya 10 heures 51 minutes 

    Retour sur les funérailles de Hocine Aït Ahmed

    Historiques !

     

    Dans cette matinée de vendredi 1er janvier 2016, le chef-lieu communal de Mechtras ressemblait à tout sauf à une ville vivante. Quelque chose se passait. Les habitants n’osaient pas encore mettre le nez dehors. Ce n’était surtout pas à cause du réveillon ou à cause de la gueule de bois de la veille.

    Les gens, notamment ceux qui ne s’étaient pas rendus à l’enterrement du siècle, étaient tous coincés devant leurs écrans de télévision pour suivre les funérailles au détail près. Durant notre passage à Mechtras- notre point de départ-, nous n’avons entendu aucun souhait de bonne année, les quelques rares piétons de passage ne parlaient que de l’enterrement de Si El Hocine. Cette année, les fêtes de fin d’année ne se sont pas déroulées comme à l’accoutumée. La région, comme toute l’Algérie, a été endeuillée par la disparition du dernier historique qui allait justement être enterré le premier jour de l’an 2016. 10 heures, en compagnie d’un ami, la Chevrolet démarre, Tizi N’tléta puis Ouadhias et à travers la route de Takhoukht, on rejoint l’intersection menant vers Ath Ouacif et Aïn El Hammam (la montée de la tranchée), une distance de plus 15 kilomètres avalée en 30 minutes. En montant, à partir de l’intersection de Takhoukht, la circulation devenait de plus en plus dense. Les véhicules étaient immatriculés à Tizi-Ouzou, mais il y’avait beaucoup d’autres véhicules immatriculés à d’autres wilayas du pays. Les paysages sont beaux et la main du juif de la montagne du Djurdjura, orientée vers le ciel bleu, semblait dire adieu, comme l’a fait Si El Hocine dans un de ses posters affichés à travers toute la localité. C’est déjà comprendre que les funérailles sont nationales. À Aïn El Hammam, près de 15 kilomètres du village d’Ath Ahmed, c’est une autre histoire, des files de voitures à perte de vue. La circulation est bloquée, s’était avant midi. Les agents qui essayaient de régler la circulation ont fini par conseiller aux automobilistes de trouver un coin pour garer leurs voitures et poursuivre le chemin par car ou même à pied. Il restait encore quelques kilomètres pour atteindre le village de Dda El Hocine. Les pèlerins essayent de garer leurs voitures mais c’est tout simplement impossible. Tous les coins et recoins à travers Aïn El Hammam étaient occupés, aucun espace n’était libre, la ville aussi était saturée ! Ce qui a contraint des milliers de visiteurs, d’admirateurs de Hocine Aït Ahmed et de militants du front des forces socialistes, à rebrousser chemin. «Nous sommes venus de Boumerdès pour assister à l’enterrement de Dda L’Hocine, mais Ellah Ghaleb, Nous ne pouvons pas faire le trajet à pied et nous ne trouvons pas où garer notre véhicule», dira un homme frisant la soixantaine.

    Au village d’Aït Ahmed, c’est une marrée humaine

    La foule était tellement dense qu’aucune barrière n’a résisté et aucun service d’ordre n’a pu faire quelque chose, ni les organisateurs du village ni ceux du FFS et ni les services de sécurité, n’ont pu organiser la foule. Il faut dire que l’affluence a battu toutes les prévisions. Personne ne peut dire exactement le nombre de pèlerins venus rendre un dernier hommage et se recueillir sur la mémoire d’Aït Ahmed, des dizaines de milliers, des centaines de milliers ou des millions, il est quasi impossible de donner un chiffre proche de la réalité. Une chose est sûre, c’est que Dda L’Hocine, même mort, vient encore une fois de réussir la prouesse de réunir tous les algériens comme il l’a fait en 1954, au déclenchement de la glorieuse révolution de novembre. Le petit village d’Ath Ahmed a été phagocyté par la foule. Ni les appels du fédéral du FFS qui appelait à plus d’ordre et à plus d’organisation ni tous les mécanismes prévus n’ont pu contenir la foule. La dépouille d’Aït Ahmed a été réappropriée par le peuple. Ni la minute de silence ni la prière du mort et aucune oraison funèbre n’a été prononcée. Des milliers d’hommes voulant s’accaparer la dépouille de feu Dda El Hocine, ont retardé l’avancement de l’ambulance. Des cris berbères et des slogans du FFS fusaient de partout. Les algériens, toutes tendances confondues, criaient à gorge déployées «Assa azeka Aït Ahmed Yella yella», «Assa Azeka le FFS Yella Yella». C’est un miracle que les pompiers et notamment les membres de sa famille ont pu récupérer le corps et le mettre enfin en terre dans le mausolée de chikh Mohand à côté de sa mère. Désormais, Dda L’Hocine pouvait enfin se reposer après 70 ans de combat, de lutte et de militantisme acharnés. Repose en paix Dda El Hocine, vous le méritez bien.

    Hocine T

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  • Par DDK | Il ya 10 heures 48 minutes 

    Arab Tebbakh, maire FLN de Mechtras

    «Je n’ai pas pu arriver au village d’Ath Ahmed»

    «J’ai tant voulu assister à l’enterrement de Dda El Hocine, mais la route était bloquée à Aïn El Hammam. J’ai cherché un tout petit coin pour garer ma voiture et poursuivre le trajet même à pied, mais hélas, je n’ai trouvé aucune place pour garer ma voiture. J’ai dû rebrousser chemin avec beaucoup de regrets. J’ai tant voulu assister à son enterrement pour lui rendre hommage, pour tout ce qu’il a donné pour notre pays. Même si je ne suis pas du FFS, n’empêche que ceux qui ont consacré leur vie au service de l’Algérie sont aussi les nôtres, et nous n’avons aucunement le droit de renier leur combat et leur militantisme. Hocine Aït Ahmed a été un véritable fils de l’Algérie qu’il a tellement aimé».

    Propos recueillis par Hocine T

     

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  •  

    Les jonctions mortelles !

    Par Hakim Laâlam  
    Email : laalamh@yahoo.fr
    Aïcha Kadhafi a mis très mal à l’aise les autorités algériennes.
    Ah bon ? Pourquoi ? Elle serait de nouveau…

     

    …enceinte ?

    J’avoue avoir ressenti une certaine gêne. Une gêne certaine, pour tout vous dire. J’ai lu, relu et relu encore plusieurs dépêches narrant la descente terroriste dans un bar de Mechtras, en Kabylie, et à chaque fois, je butais sur le même mot : CLANDESTIN. Cette insistance à souligner le côté illégal du bar attaqué par les tangos me semblait proprement irréelle. Deux personnes, deux êtres humains ont été kidnappés par les assaillants, on ne sait toujours pas quel est leur sort, et pourtant, en gras, presque souligné sous nos yeux afin que nous ne rations pas ce détail, c’est ce fragment de phrase qui s’entêtait à nous titiller : bar clandestin. Comme si l’info première, le lead de la dépêche, la substantifique moelle de cet événement, c’était le statut illégal de ce débit de boissons. Ce label «bar clandestin » est-il censé diminuer de la sauvagerie de l’incursion terroriste ? L’absence de patente, de licence de vente de boissons alcoolisées atténuerait-elle la gravité du raid d’Al-Qaïda contre ce bar de Mechtras ? Allez savoir pourquoi cet événement, et surtout la façon dont il a été narré m’ont aussitôt fait penser au fameux axiome d’Abdekka. Car Abdekka a produit un axiome, ne lui enlevons pas ce «mérite». Il a cadré la République algérienne, du moins «sa» république, à égale distance entre la mini-jupe de sa ministre de la Culture et le kamis de son protégé «passeporisé», Abassi Madani. Boutef’ a d’ailleurs par la suite affiné les contours de son axiome, précisant que dans «sa» république enfin réconciliée, les repentis ne devaient pas subir les affres de la provocation de la part des femmes qui fument. Cette sorte d’avance sur société future, cette projection sur ce que doit être le rôle de chacun dans l’Algérie à venir se retrouve parfaitement reproduite et prise en charge de manière dangereusement insidieuse à travers les événements de Mechtras. Le fait en lui-même, le cœur de l’info, l’attaque sauvage contre un bar et le rapt de deux citoyens est relégué au second plan, juste derrière un constat «commercial» d’infraction au code portant vente de boissons alcoolisées. Il n’est pas dit que la suite de cette affaire ne se réduise finalement à la seule traduction du gérant de ce bar clandestin devant la justice pour activité illégale. Encore une fois, ne riez pas ! On n’en est plus très loin. Je fume du thé et je reste éveillé, le cauchemar continue.
    H. L.

     
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  • MECHTRAS

    Société : 453351900

    Fiche entreprise : chiffres d'affaires, bilan et résultat

     

    Entreprise radiée le 14-05-2013

    1 ET 3 AV PASTEUR ET ANGLE

    RUE VICTOR HUGO

    93100 MONTREUIL SOUS BOIS

    France

     

     

    Présentation de la société MECHTRAS

     

    MECHTRAS, société à responsabilité limitée a été active pendant 9 ans.
    Installée à MONTREUIL SOUS BOIS (93100), elle était spécialisée dans le secteur d'activité de la restauration traditionnelle. Son effectif est compris entre 3 et 5 salariés.

    Sur l'année 2006 elle réalise un chiffre d'affaires de 137 000,00 €.

    Societe.com ne recense aucun établissement actif et le dernier événement notable de cette entreprise date du 10-05-2004.

    Hakim IHADRIEN, était gérant de la société MECHTRAS.


    La société MECHTRAS a été radiée le 14 mai 2013.



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