•   La fontaine du roi attend sa réhabilitation

    Lire la suite...

    Partager via Gmail Yahoo!

    votre commentaire
  • La ville suffoque

    Lire la suite...

    Partager via Gmail Yahoo!

    votre commentaire
  • Par DDK | 4 Juillet 2009

    La fontaine du roi !

    i

     

     

    Mechtras, une plaine basse entourée par de très hautes collines et surtout par le majestueux Djerdjer qui joue un rôle de protecteur et de fournisseur généreux en cette denrée rare et précieuse qui, grâce à elle, la vie devient possible et agréable, nous parlons bien sûr de l’eau aux multiples vertus. Il y a à peine 20 ans, l’eau coulait partout à Mechtras abondamment et même pendant les saisons les plus sèches permettant du coup aux citoyens de cultiver leur terre et de vivre du fruit de leur labeur. Il y a seulement quelques années, l’abondance des fruits et des légumes était la caractéristique de cette localité. Qui n’a pas entendu parler des tomates, des piments, des haricots et de plein d’autres fruits originaires de Mechtras ? Il faut signaler que les habitants de cette contrée ne sont pas des fainéants mais il faut dire aussi que la nature les a suffisamment favorisés et comment, puisque l’eau était disponible et de très bonne qualité. En plus des eaux souterraines qui jaillissaient de partout, il y a aussi deux rivières à savoir Assif Oumechras et Ighzar n’ath Hidja dont le premier ne tarit jamais et continue de couler de nos jours même... Plusieurs fontaines existaient dont la célèbre fontaine du roi “Tala uglid” qui prend directement sa source du Djurdjura et qui a un débit de 40 l/s, même pendant la période estivale ; au jour d’aujourd’hui, la fontaine du roi a disparu du paysage locale et son eau est acheminée vers la commune voisine de Boghni. Bien sûr, l’eau de Mechtras ne s’est pas volatilisée, mais l’exploitation excessive a réduit son débit car pas moins de 300 puits sont recensés par les services de la municipalité et certains particuliers en font commerce. Certes, le prix de l’eau est symbolique mais il faut tout de même régler les charges qui en découlent (panne de moteur, frais d’électricité...). D’ailleurs, pendant l’été, on observe des chaînes de camions à citerne venus de Maâtkas, d’Aït Abdelmoumène et de Tizi n’Tleta car dans ces villages, l’eau se fait rare et ne coule des robinets qu’une fois par semaine dans le meilleur des cas. Signalons qu’au village d’Aït Abdelmoumène, par exemple, une citerne de 2 000 litres est cédée à 1 500 DA. Hallucinant ! Evitons de créer des incidents et revenons à Mechtras pour signaler que les deux rivières de la localité sont polluées et leur liquide est devenu méconnaissable et impropre à la consommation et à l’utilisation car les égouts de toute la commune y trouvent refuge, sans oublier que l’assainissement des collines avoisinantes est menaçant puisqu’à long terme, ces eaux usées finiront leur course inévitablement dans cette plaine autrefois paradisiaque, ce qui fera dire au P/APC de cette commune. “Une station d’épuration est fortement recommandée, sinon une pollution à grande échelle est à craindre”. Notre interlocuteur ajoutera également : “Les services d’hygiène et notre régie communale font ce qu’ils peuvent. Le contrôle est renforcé, les galets de chlore sont distribués à l’ensemble des propriétaires de puits et des analyses sont régulièrement pratiquées mais le risque zéro n’est pas toujours garanti”.

    Pour le moment, aucun incident n’est à signaler, mais les consommateurs doivent s’impliquer car il faut redoubler de vigilance et de bien surveiller l’état de cette nappe phréatique soumise aux risques des fosses septiques et des différents rejets ménagers. La vigilance et la surveillance doivent être de mise afin d’éviter le revers de la pièce car ce qui constituait la fierté et la richesse de Mechtras ne doit, en aucun cas, concourir et favoriser l’émergence de désagréments et d’ennuis qui endeuilleront les paisibles citoyens de Mechtras. Une station d’épuration évitera beaucoup de soucis et chassera définitivement le spectre de la pollution qui se dresse comme une épée de Damoclès !

    Hocine Taïb

     

    Partager via Gmail Yahoo!

    votre commentaire
  • Interview avec Mohamed SAIDJI

    Lire la suite...

    Partager via Gmail Yahoo!

    votre commentaire
  • L’opposition monte au créneau

    Lire la suite...

    Partager via Gmail Yahoo!

    votre commentaire
  • L’APC de Mechtras bloquée !

    Lire la suite...

    Partager via Gmail Yahoo!

    votre commentaire
  • Mechtras en fête

    Lire la suite...

    Partager via Gmail Yahoo!

    votre commentaire
  • Pas de couffin de Ramadhan à Mechtras

    Lire la suite...

    Partager via Gmail Yahoo!

    votre commentaire
  • Mechtras : 1000 demandes pour 40 logements sociaux

    La crise de logement s’est accentuée dans la commune de Mechtras, relevant de la daïra de Boghni au sud de la wilaya de Tizi-Ouzou. Au chef lieu communal ou dans les nombreux villages, les habitants attendent de pouvoir goûter aux délices d’un logement décent. À Ait Imghour ou à Ihesnaouen, des centaines de familles continuent de vivre dans des conditions précaires. Les maisons en terre battue, sans le minimum de commodités, sont encore légion. Un chef de famille que nous avons rencontré au chef-lieu tonnera : «Nous vivons dans des conditions misérables, pour ne pas dire dans des gourbis. J’ai introduit une demande de logement social, il y a de nombreuses années, mais à ce jour, nous ne voyons pas le bout du tunnel». Signalons qu’un projet de réalisation de 40 logements sociaux a été lancé, depuis de nombreuses années, mais il n’est toujours pas achevé. Le vice-président à l’APC, M. Malik Ejkouane, que nous avons questionné à ce sujet, nous apprendra : «Les 40 logements sont en voie d’achèvement, mais leur distribution sera, à coup sûr, très difficile, puisque nous comptons 1000 demandes. Il est tout à fait clair que lorsque la demande dépasse l’offre de trop, il y aura toujours des mécontents. Nous demandons des quotas plus importants pour diminuer l’ampleur de cette crise de logement». Concernant l’habitat rural, une formule de rechange qui a permis à des centaines de familles de bâtir leurs habitations, les quotas sont toujours insignifiants. Ce sont quelques 1900 dossiers qui attendent d’être satisfaits au niveau des services de l’urbanisme. «En 2013, nous n’avons eu qu’un faible quota de 30 aides, alors que le nombre de demandes est de 1900. Nous demandons un quotas plus important pour satisfaire le maximum de demandeurs», dira le vice-président de l’APC.

     

    H. T.

     

     

    Partager via Gmail Yahoo!

    votre commentaire
  • Subventions insuffisantes
    Mechtras / Publié dans El Watan le 15 - 03 - 2011


    La commune de Mechtras, dans la daïra de Boghni, au sud de la wilaya deTizi Ouzou, vient de bénéficier d'une enveloppe financière de 20 millions de dinars dans le cadre du plan de communal de développement (PCD).
    «Mais, cette enveloppe est insuffisante pour prendre en charge les besoins de la municipalité», regrette le premier magistrat de la commune, expliquant que l'administration avait pourtant promis des montants plus importants à l'APC après consommation de tous les budgets qui lui ont été alloués durant l'exercice précédent. «Hélas, ce n'est pas le cas», déplore le P/APC de Mechtras, précisant que son exécutif a retenu toutefois quelques opérations jugées urgentes comme le revêtement de la route reliant Naouche à Ahtsou, sur une distance de près de 700 mètres en tri-couche.
    La rocade du stade municipal sera revêtue en béton bitumineux sur 700 mètres elle aussi. Il est prévu en outre le dallage de certaines ruelles à l'intérieur de la zone urbaine, la réalisation d'un daleau à Lainçar ou Kheffaf et d'un tronçon d'assainissement à Ahtsou. A Mechtras, où les besoins sont multiples et divers, il faudrait des financements plus conséquents pour répondre aux préoccupations et doléances des citoyens.

    Partager via Gmail Yahoo!

    votre commentaire
  • Partager via Gmail Yahoo!

    votre commentaire
  • La plaquemine met sous les projecteurs Mechtras

    Foire. Durant deux jours, la commune de Mechtras (Amechras en Kabyle)  située à près de 30 km au sud du chef-lieu de Wilaya a célébré la plaquemine, un fruit qui revient à la mode ces derniers temps.

     

     

    Effectivement, ce fruit inconnu jusque-là pour la majorité des Algériens se fait désormais, petit à petit,  une place dans les emplettes des ménages. La troisième édition de la fête dédiée à ce fruit, s’est tenu au CFPA de Mechtras les 16 et 17 de ce mois d’octobre 2015 qui coïncide  avec le 17 octobre 1961  grâce à la persévérance des organisateurs. « Le CFPA, lieu de la manifestation, n’a pas été choisi par hasard. Il était durant la guère de Libération un lieu de torture de l’armée française. Beaucoup de nos citoyens ont laissé leur vie ici dans ce lieu de triste mémoire », fait savoir le président de l’APC d’Amechras M. Debakh Arab. Après la cérémonie d’inauguration qui a vu la participation des autorités locales, des invités d’honneur délégués par les autres communes limitrophes, du député Saïd Lakhdari, un carnaval a égayé le regard des curieux tout le long des artères du chef-lieu de la commune jusqu’au siège du CFPA.  Dès le premier jour, le fruit est exposé au grand jour dans toute sa beauté rougeâtre. Dans de petits paniers en osiers et roseaux coupés, le bellissime fruit incite à la dégustation. Dans la bouche, il déverse toute sa texture sucrée et suave. Des expositions de poterie, d’articles d’osier sans oublier la robe kabyle jonchent les allées du CFPA. « Faire connaitre ce fruit aux mille vertus et sortir la localité de Mechtras de l’anonymat est l’objectif principal des organisateurs », ajoute l’édile municipal.  Les responsables de cette commune dépouillée et sans ressources tentent de dénicher d’autres créneaux pour espérer des ressources avenantes. Le développement local passe par l’agriculture de montagne. Pour cela, on peut dire que le pari est réussi. Le plaqueminier, dont le fruit ressemble étrangement à de la tomate, est  un arbre originaire d’Asie, de Chine très exactement, de la famille des ébénacées. Ce fruit est aussi appelé communément Kaki. En Europe, il a fait son apparition dès le XVIIe siècle grâce à des botanistes explorateurs comme Mattéo Ricci. Pour populariser cette manifestation, les organisateurs ont concocté un riche programme de festivités s’étalant sur deux longues journées gâtées pour la circonstance par un ensoleillement printanier au grand plaisir des visiteurs. Un concours de dessin et de cuisine est organisé sur place pour permettre aux virtuoses de la région de se faire découvrir. Du théâtre, à travers la célèbre pièce de Mohia Tacbaylit,  et une exhibition d’arts martiaux sont prévues dés la première journée. Pour la deuxième journée, les chouhadas assassinés par l’armée coloniale sont honorés et tirés de l’oubli. Des mannequins ont défilé lors d’un concours de mode plein de couleur. Grace à la créativité des couturières locales, le défilé a tenu toutes ses promesses captivant toute l’attention des présents. Pour ne pas faire que dans le folklore et le festif, les initiateurs de l’événement ont tenu à rendre un vibrant hommage à un grand Monsieur de la chanson kabyle en la personne de l’illustre monument Lounes Kheloui. Lounès Kheloui s’amoncèle derrière lui une œuvre artistique inestimable.  «  Comme ils m’ont honoré, moi aussi je les honore et je reviendrai toutes les fois qu’ils feront appel à moi. Que les organisateurs soient remerciés à travers le quotidien La Cité », tient à dire M. Kheloui Lounès. A la fin de la manifestation, une collation et une remise de prix aux participants a été organisée.

    R Benamghar

    Partager via Gmail Yahoo!

    votre commentaire
  • MECHTRAS, LE VILLAGE DE LA GENDARMERIE ET DES QUARANTE BARS

    Par A. M’hand Akli.

    Selon Mouloud Mammeri Mechtras grand carrefour de la vallée du Djurdjura, est le nom d’un gladiateur berbère qui aurait fui l’armée romaine…

    C’est l’un des plus beaux villages de la vallée du Djurdjura. A peine 12000 habitants. Les quarante fontaines qui l’entourent lui donnent un charme particulièrement resplendissant. Chaque fontaine à sa propre légende. Les zaouïas et les écoles coraniques y ont fleuri jusqu’à une date récente. Si Mohand U M’hand, Cheikh Mohand sont venus chercher la bénédiction de Sid Ali Outoumi et de Cheikh Mohand El Mokhtar dans la fontaine du « Roi ». L’Emir Abdelkader,  Ben Badis, Messali, Ben Boulaid, El Ouartalani et la famille de cheikh Belhadad y ont séjourné durant plusieurs jours… Mais aujourd’hui, les « quarante saints » du Djurdjura qui veillaient jadis au bonheur de toute la vallée semblent proscrits. Plus qu’aucun village en Kabylie, Mechtras est précédé par une réputation de bourgade dangereuse à l’insécurité importante. La réalité, c’est que Mechtras, jadis royaume des Igjdal  dont l’autorité religieuse et militaire planait de la confédération des Ait Sedka ( Ouadhias) jusqu’à  Tizi Nait Aicha (aujourd’hui Tenia-Boumerdes), en dépit de la législation en vigueur, compte plus de lieux de débauche et de bars que d’habitants.

    Selon de nombreux témoignages, ces lieux de débauche sont à la solde de hauts dignitaires de la gendarmerie nationale. « Nous avons saisi la presse et le Wali pour mettre un terme à cette humiliation, mais aucune suite n’a été donnée à notre démarche », raconte un membre de la Djemaa de Tazrout. « Plus que cela, la presse, notamment les journaux Liberté et La dépêche de Kabylie ont rapporté des versions invraisemblables selon lesquelles on soutient les propriétaires de ces lieux de débauche », a-t-il encore ajouté. Déjà au lendemain de l’enlèvement du citoyen Hamouni, de nombreux villageois ont décidé d’attaquer  la brigade de gendarmerie accusée publiquement de protéger ces lieux de débauche qui empoisonnent la vie au village. Ce climat particulièrement explosif  a conduit la sûreté de wilaya de Tizi ouzou a procédé à la fermeture de certains lieux de débauche. Cependant, selon de nombreux témoignages, des délinquants encouragés par les éléments de la gendarmerie nationale, ont fait une expédition punitive contre le commissariat de la ville de Boghni, au cours de laquelle plusieurs policiers ont été blessés. « Ici à Mechtras, nous sommes les prisonniers de la gendarmerie », explique à son tour un membre de la Djemaa des Ait Ali Aissa. Hier encore, alors que la police de Boghni procédait à la fermeture d’autres lieux de débauche avec en guise l’arrestation de plus d’une cinquantaine de filles de joie venues pour la plupart de l’Ouest du pays, la ville de Boghni a été le théâtre d’affrontements entre policiers et délinquants armés qui réclamaient la libération des filles et la réouverture de ces maisons de pass

    Partager via Gmail Yahoo!

    votre commentaire


    Suivre le flux RSS des articles de cette rubrique
    Suivre le flux RSS des commentaires de cette rubrique