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  • Quand Wikipedia "dévoile l'origine de la burqa" : Elle vient du culte d'Astarté, des prostituées...

    Jeudi 20 Août 2015  23:43

    Quand Wikipedia "dévoile l'origine de la burqa" : Elle vient du culte d'Astarté, des prostituées...

     
    La burqa (en pachto, برقع), parfois orthographié burqua, burka, ou plus rarementbourka[1], est un voile intégral d'origine afghane porté par les femmes principalement en Afghanistan, au Pakistan et en Inde.
     
    En France, le mot a été utilisé improprement par des politiques et journalistes au cours du débat sur la légalité du port du voile intégral islamique, le niqab, comme synonyme de ce dernier.
     
    Par ailleurs, il faut noter que la véritable origine de la Burqua vient du culte d'Astarté dans la Mésopotamie antique. Afin d'honorer la déesse de l'amour physique, de la fecondité, toutes les femmes, semble t'il sans exception devaient se prostituer une fois l'an dans les bois sacré qui entouraient les temples de la déesse. Pour ne pas être reconnues, les femmes de la haute société prirent l'habitude de se voiler totalement. En outre Moustapha Kemal, alias Atatürk, 1er président de la Turquie, de 1923à 1938, avait trouvé une solution radical pour clouer le bec aux intégristes de l'époque. Il avait mis un terme au port de la Burkha, en faisant une loi toute simple, avec effet immédiat, toutes les femmes turques on le droit de se vêtir comme elles le désirent. Toutefois toutes les prostituées doivent porter obligatoirement la Burka. Resultat, dès le lendemain, on ne voyait plus de burkha en Turquie !
     
    Enfin, il faut bien preciser que d'après le politologue Olivier Roy, la Burqa est en effet un vêtement récemment promu par les salafistes :http://www.20minutes.fr/france/242108-la-burqa-voile-tout-meme-chose
     
    Ataturk (qui voulait construire une Turquie forte sur le modèle occidental) ne pouvait s'en préoccuper ; en revanche, il a bien fait des tentatives pour lutter contre le port du niqab pour les femmes et du fez pour les hommes : http://www.cesnur.org/2005/mi_turquie.htm
     
    Voici un lien qui dit qu'Ataturk a bien mis la burqa hors-la-loi en 1930. http://www.ethics.org.au/living-ethics/paradox-burqa

    https://fr.wikipedia.org/wiki/Burqa
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  • Eclairage public à Ait Imghour.

    Eclairage public à Ait Imghour.

     

    Eclairage public à Ait Imghour.

    Eclairage public à Ait Imghour.

     

    Eclairage public à Ait Imghour.

     

    Si tous les ancrages des poteaux sont similaires, les services techniques de l'APC sont appelés à ouvrir une enquête pour dégager leur responsabilité. Il est souhaitable d'informer les citoyens de ne pas s'adosser à ces poteaux.

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  • Les chemins fermés de Mechtras.

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  • Par DDK | 20 -08-2016

    DDA BELKACEM U MECHRASS, UN CONDAMNÉ À MORT, RACONTE LA GUERRE D’ALGÉRIE

    L’attaque contre la caserne sous les youyous…

     

    Dda Belkacem de Mechtras, au sud de Tizi-Ouzou, est un ancien condamné à mort par l’armée coloniale pour «atteinte à la sûreté de l’État et participation à des actes terroristes.»

    Le destin a voulu autrement, puisque M. Cheballah a bien vecu l’indépendance du pays. Aujourd’hui, âgé de près de 90 ans, malgré la maladie et le poids des années, il fait un retour très lucide sur la guerre d’Algérie. Avec lui, le dialogue est facile. L’écouter raconter la guerre d’Algérie sans discontinuer, avec des détails, des révélations et des témoignages poignants, était captivant. Dda Belkacem déclare d’emblée sans cligner des yeux : «Au déclenchement de la guerre, j’étais en congé ici au pays. La situation était difficile et très dure. J’ai dû retourner en France après mes vacances pour reprendre mon travail à l’usine de voiture SIMCA. Mais la situation devenait complexe là-bas. L’Algérien était très mal vu. Le racisme et la répression étaient au menu quotidiennement. Deux ans après, j’ai pris la décision de rentrer au pays pour participer à la libération du pays. L’injustice, la férocité de l’occupant, la pauvreté et la famine faisaient souffrir le peuple. En avril 56, dès mon arrivée, j’ai pris attache avec le moudjahid El Hadjen Ali. Je savais que son frère était monté au maquis mais, il m’avait dit qu’il était à Alger, précaution oblige. De fil en aiguille, on a réussi à former un groupe de Moussebline à travers la région de Mechtras.

    Quatre attentats à Boghni pour commencer

    «Notre groupe de Moussebline, en plus de couper les poteaux électriques et les routes, a organisé quatre attentats à Boghni contre les éléments de l’armée coloniale et les traîtres. Le garde champêtre de Boghni a été grièvement blessé par l’un des nôtres, chargé de le liquider. L’attentat contre le docteur Mikel était aussi l’œuvre de notre groupe. Il y a aussi l’assassinat d’un autre traître, mais hélas il y avait erreur car celui chargé d’exécuter la sentence s’est trompé de cible en s’attaquant à son frère. Dans cet attentat, c’est notre Moussebel qui a été tué car son arme était défaillante et le traître avait un pistolet que lui avait offert la France. Il a vidé son chargeur sur notre chahid», racontera-t-il. Notre interlocuteur prend une gorgée de café et semble remonter le temps pour se remémorer les tragiques événements de 58, où il s’est fait arrêter à Alger. «En 1958, je ne me souviens plus des dates exactes, deux de nos jeunes furent convoqués pour aller faire leur service national sous les couleurs de l’armée Française. Les deux jeunes ne savaient quoi faire. Ils sont venus nous consulter. À mon tour, j’ai informé le chef de secteur qui a accepté de les engager dans les rangs de l’ALN mais à condition de faire leur preuve, en organisant des attentats à la grenade au niveau de la capitale Alger. Il m’a remis les deux grenades et indiqué les lieux où doivent être jetés les grenades à Alger. Les deux jeunes étaient d’accord et ont pris la direction d’Alger. Un mois plus tard, aucun attentat à la grenade n’a eu lieu. Le chef m’a contacté alors pour récupérer les grenades. Je suis descendu sur Alger à mon tour à la recherche des deux jeunes. J’ai appris que l’un d’entre eux s’est déjà engagé avec l’armée coloniale et le second était toujours à Alger, j’ai pu le retrouver grâce à des connaissances», dira-t-il et de préciser : «En me voyant, le jeune a promis de jeter la grenade le lendemain au lieu convenu. En effet, le lendemain, l’attentat a bien eu lieu à Belcourt comme prévu et malheureusement le jeune a été tué».

    Son arrestation

    Pour retourner à Mechtras, ce n’était pas facile car j’étais déjà recherché. J’ai dû me cacher et passer trois nuits dans une carcasse de voiture abandonnée. Mais à la 3ème nuit vers 23 heures, les soldats français m’ont encerclé et capturé. J’ai était emprisonné à la corniche d’Alger où j’ai subi les pires tortures pendant 29 jours. On m’a ensuite transféré à la prison d’Aïn Ouessara. Vers la fin de 1959, avec un groupe de six amis combattants, nous avons creusé un tunnel sous la prison et on a pris la fuite. J’ai pris le commandement du groupe. Pendant la nuit, on courait et durant la journée on dormait pendant trois journées sans manger et sans boire. Nous avons ensuite rencontré une famille qui nous a orientés vers les maquis de Berouaghia. Une fois avec les Moudjahidine, on m’a chargé d’être le commissaire politique à Djebel Bougoudel, dans la wilaya de Médéa. Au chef, j’ai dit comment me nommer commissaire politique alors que vous ne me connaissez pas ? Il a rétorqué : «Djerdjer yech’hed alikoum». Lors de l’une de nos actes révolutionnaires, j’étais blessé au ventre (Il garde encore la cicatrice). Je me suis fait encore prendre par l’armée coloniale et ils m’ont jeté à la prison militaire de Sour El-Ghozlane. Une fois rétabli, on m’a transféré une nouvelle fois à la prison de Médéa. Le tribunal militaire m’a ensuite condamné à mort. Je n’ai quitté cette prison qu’à l’indépendance du pays. En sortant de prison et en arrivant à Mechtras, tout le monde était venu m’accueillir. Il y avait aussi tous les enfants mais mon petit Mohamed n’y était pas. Je l’ai beau cherché, mais je ne l’ai vu nul part. J’ai demandé à ma femme où est il passé ? Elle m’a appris qu’il était mort en 1959, il avait juste 10 ans. Je me suis alors rappelé qu’en prison, j’avais rêvé de lui à deux reprises alors que j’essayais de le retenir, lui il s’envolait. J’en ai souffert comme on ne peut le décrire, j’éprouve de la peine encore aujourd’hui». Dda Belkacem n’a pu retenir ses larmes.

    45 hommes tués en une semaine en 1957 à Mechtras

    Notre interlocuteur avait besoin de souffler pour reprendre ses esprits. Un verre d’eau, une gorgée de café et il repart dans son passé de guerrier. «En 1957, je ne me souviens plus du mois, l’armée coloniale a abattu et fusillé 45 Mechtrassiens en une semaine, dont 28 en une seule journée. On parlait même de la capture d’un Mechtrassien qui est passé aux aveux. L’armée coloniale a, du coup, encerclé le tout Mechtras. Tous les hommes en âge de porter les armes furent arrêtés et emprisonnés à l’actuel CFPA qui était une caserne française. Après des tortures, 45 Mechtrassiens sont condamnés à mort. Cette fois, les soldats de l’occupation n’ont pas réussi à me prendre. Je me suis terré dans une vieille habitation en ruine avec un ami. Ils sont bien arrivés dans cette vieille bâtisse, ils ont commencé à chercher et avec mon ami qui a déjà mis le doigt dans la goupille de sa grenade et moi le doigt sur la gâchette, les recherches se sont arrêtées subitement suite à un coup de sifflet, tous les soldats ont regagné leurs postes. C’est comme ça que nous avons eu la vie sauve», ajoutera-t-il encore. Et de continuer : «Durant la même semaine, 45 hommes ont été tués et 28 en une seule journée. Les fusillades collectives se poursuivaient. C’était atroce et apocalyptique. Tout Mechtras et toute la région étaient endeuillés. Le moral du peuple était au plus bas. Il fallait faire quelque chose les jours suivant pour montrer que la guerre continue et surtout remonter le moral de la population.

    Tirs nourris sur la caserne et youyous en pleine nuit

    Avec le capitaine Si Aïssa et 35 autres Moudjahidine, nous avons, de nuit, organisé l’attaque de la caserne de Mechtras. La caserne encerclée et feu à volonté ! Les soldats étaient pris comme des lapins. Toute la nuit, la caserne a été arrosée de balles et d’obus sous les cris d’Allah Akbar et les youyous des femmes. Nous n’avons, bien sûr, aucun bilan car tout était soigneusement caché par l’armée coloniale. Aucune information n’a filtré sur le bilan de l’opération. Ce qui mérite d’être signalé par contre, ce sont les youyous des Mechtrassiennes lorsqu’elles ont compris que c’est l’ALN qui était en opération. Une opération qui a redonné courage et espoir à la population». Pour revenir à ces journées de geôles et du couloir de la mort, Dda Belkacem se rappelle : «Notre chef nous disait que lorsque vous entendrez la clé pénétrer dans la serrure de votre cellule, sachez que la sentence allait être exécutée. Il faut être courageux et affronter la guillotine en criant Allah akbar, tahya el Djazaïr, ana n’mout oua tahya bladi, ech hed ya barberous». Aux jeunes d’aujourd’hui, Dda Belkacem dira : «Les jeunes ne sont pas entièrement fautifs. Ils doivent se réveiller car la France a mis d’autres mécanismes et de nouvelles formes de colonisation, à savoir le système de la double nationalité et des papiers. À ce rythme, la France reprendra les commandes en Algérie dans quelques décennies. Il faut être intelligent pour déjouer ce complot. Nous n’avons pas le droit de brader ce pays pour lequel des millions d’hommes de grandes valeurs se sont sacrifiés. Vive l’Algérie !

    Témoignage recueilli par Hocine Taib.

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  • Par DDK | Il ya 12 heures 4 minutes | 427 lecture(s) Mechtras : Les jeunes d’Aït Ali Aissa tiennent à la propreté de leur village Du volontariat chaque vendredi Du volontariat chaque vendredi Un collectif de jeunes villageois d’Aït Ali Aissa, au chef-lieu de Mechtras, se sont mobilisés pour procéder au nettoyage de leur village. Ces jeunes n’ont dû compter que sur leur volonté et leurs moyens personnels pour donner un grand coup de balai devant la porte de leur village. «Nous avons remarqué que notre village, fort de près de 2000 habitants, perd son lustre de propreté. Les abords des routes, les différents espaces et même l’oued ne sont pas épargnés par l’incivisme, le manque d’organisation, l’insuffisance de la collecte des ordures et l’inexistence de niches. Nous avons alors décidé de leur donner un grand coup de balai pendant les week-ends», a indiqué un des représentants rencontrés sur place. Le groupe de jeunes s’assigne des objectifs des plus honorables, à savoir la préservation de l’environnement à travers leur village et le rendre plus propre et plus attrayant. Ils essaient également de sensibiliser tous les habitants au sujet de l’importance de préserver l’environnement. Sur place, nous avons constaté que les jeunes bénévoles avec leurs outils ont déjà entamé la mission au grand bonheur de tous les villageois. «Rendre à Ait Ali Aissa et à Mechtras toute entière son lustre et sa réputation d’antan est notre seul objectif. Un grand merci aux jeunes et aux habitants qui nous aident et encouragent. Nous appelons les responsables concernés à nous venir en aide même avec des encouragements moraux. Signalons que le ramassage des ordures au niveau des quatre communes de la daïra de Boghni est très perturbé depuis la fermeture de la décharge d’Ichiouache par les riverains. Le centre d’enfouissement technique réalisé à Boghni n’est toujours pas opérationnel, pourtant les travaux sont bel et bien achevés. Il est clair qu’il urge d’ouvrir ce CET qui contribuera à la préservation de l’environnement dans toute la région allant des Ouadhias jusqu’à Boghni. Hocine T.

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  • En live de ait ali aissa suite au volontariat entamé la semaine passé nchallah chaque vendredi aka

     
    Photo de Mhd Ben.
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    Photo de Mhd Ben.
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  • Les singes sont bien trop bons pour que l'homme puisse descendre d'eux.

    La croyance que rien ne change provient soit d'une mauvaise vue, soit d'une mauvaise foi. La première se corrige, la seconde se combat.

    Que d'hommes se pressent vers la lumière non pas pour voir mieux, mais pour mieux briller.

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  • La recherche de Dieu est un exercice inutile: à rien ne sert de chercher où il n'y a pas. On ne récolte pas sans avoir seméDieu n'existe pas, vous ne l'avez pas encore créé.

    Le mensonge est la religion des esclaves et des patrons.

    Les écrivains font des châteaux en Espagne, les lecteurs y vivent, et les éditeurs touchent les loyers.

     “Avoir du talent, c'est avoir foi en soi-même, en ses propres forces.”

    “Est-ce que Dieu existe ? Si tu crois en lui, il existe ; si tu n’y crois pas, il n’existe pas.”

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