• Pas de couffin de Ramadhan à Mechtras

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  • Mechtras : 1000 demandes pour 40 logements sociaux

    La crise de logement s’est accentuée dans la commune de Mechtras, relevant de la daïra de Boghni au sud de la wilaya de Tizi-Ouzou. Au chef lieu communal ou dans les nombreux villages, les habitants attendent de pouvoir goûter aux délices d’un logement décent. À Ait Imghour ou à Ihesnaouen, des centaines de familles continuent de vivre dans des conditions précaires. Les maisons en terre battue, sans le minimum de commodités, sont encore légion. Un chef de famille que nous avons rencontré au chef-lieu tonnera : «Nous vivons dans des conditions misérables, pour ne pas dire dans des gourbis. J’ai introduit une demande de logement social, il y a de nombreuses années, mais à ce jour, nous ne voyons pas le bout du tunnel». Signalons qu’un projet de réalisation de 40 logements sociaux a été lancé, depuis de nombreuses années, mais il n’est toujours pas achevé. Le vice-président à l’APC, M. Malik Ejkouane, que nous avons questionné à ce sujet, nous apprendra : «Les 40 logements sont en voie d’achèvement, mais leur distribution sera, à coup sûr, très difficile, puisque nous comptons 1000 demandes. Il est tout à fait clair que lorsque la demande dépasse l’offre de trop, il y aura toujours des mécontents. Nous demandons des quotas plus importants pour diminuer l’ampleur de cette crise de logement». Concernant l’habitat rural, une formule de rechange qui a permis à des centaines de familles de bâtir leurs habitations, les quotas sont toujours insignifiants. Ce sont quelques 1900 dossiers qui attendent d’être satisfaits au niveau des services de l’urbanisme. «En 2013, nous n’avons eu qu’un faible quota de 30 aides, alors que le nombre de demandes est de 1900. Nous demandons un quotas plus important pour satisfaire le maximum de demandeurs», dira le vice-président de l’APC.

     

    H. T.

     

     

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  • Subventions insuffisantes
    Mechtras / Publié dans El Watan le 15 - 03 - 2011


    La commune de Mechtras, dans la daïra de Boghni, au sud de la wilaya deTizi Ouzou, vient de bénéficier d'une enveloppe financière de 20 millions de dinars dans le cadre du plan de communal de développement (PCD).
    «Mais, cette enveloppe est insuffisante pour prendre en charge les besoins de la municipalité», regrette le premier magistrat de la commune, expliquant que l'administration avait pourtant promis des montants plus importants à l'APC après consommation de tous les budgets qui lui ont été alloués durant l'exercice précédent. «Hélas, ce n'est pas le cas», déplore le P/APC de Mechtras, précisant que son exécutif a retenu toutefois quelques opérations jugées urgentes comme le revêtement de la route reliant Naouche à Ahtsou, sur une distance de près de 700 mètres en tri-couche.
    La rocade du stade municipal sera revêtue en béton bitumineux sur 700 mètres elle aussi. Il est prévu en outre le dallage de certaines ruelles à l'intérieur de la zone urbaine, la réalisation d'un daleau à Lainçar ou Kheffaf et d'un tronçon d'assainissement à Ahtsou. A Mechtras, où les besoins sont multiples et divers, il faudrait des financements plus conséquents pour répondre aux préoccupations et doléances des citoyens.

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  •  La vallée divine 

    MECHTRAS


    A SAID Publié dans L'Expression le 11 - 11 - 2008


    Mechtras est célèbre pour sa fontaine Tala Ouguelid, une source prenant naissance sur les hauteurs du Djurdjura
    Mechtras est une commune de la daïra de Boghni. Le chef-lieu s´étire doucement le long de la RN3 menant de Boghni aux Ouadhias. Des commerces divers, des cafés, un service des postes, un collège, des écoles primaires et aussi une école de formation en agriculture qui avait eu ses heures de gloire, Mechtras est célèbre pour sa fontaine Tala Ouguelid, une source prenant naissance du haut du Djurdjura et dont l'eau est proche d´une eau minérale.
    Par un savant tracé, les eaux en surplus circulent dans des rigoles servant à arroser les magnifiques jardins de la localité où le vert est dominant. Mechtras est aussi le jardin où l´on peut facilement trouver les beaux légumes et les beaux fruits, notamment les grenades, ces beaux fruits tentants avec leurs beaux grains rouges et juteux ou encore ses pacanes en attendant les belles oranges du cru. A Mechtras on ne peut guère s´ennuyer. La nature d´une beauté captivante est là pour vous faire oublier les tracas et les soucis. D´ailleurs vue depuis les hauteurs d´Ighil Ou Menchar ou encore depuis les Beni Bouaddou, Mechtras apparaît lovée dans un écrin de verdure: une vallée riante, une vallée des dieux. Il est bon de s´arrêter en cette localité et à écouter les gens vous parler de ce Chahid, qui dans les années cinquante, a en surpris plus d´un en fabricant de ses mains, un bateau miniature qui se mouvait à l´aide d´un moteur.
    Cet inventeur, mort les armes à la main pour la patrie, peut être considéré comme le premier en cette région à avoir tenté et réussi une invention. Les gens de Mechtras ont pour lieu de rencontre le marché hebdomadaire du dimanche, un marché qui se tient à Boghni distant de quatre km. Mais la plupart des gens de la localité adorent se retrouver au lieudit La Baraque, près de la mairie. Selon les jeunes gens de la localité à Mechtras où l´eau n'est pas un problème et l´électricité pratiquement dans tous les foyers, il reste en sus du chômage, des jeunes gens dont la plupart, se retrouvent à casser des rochers pour en faire de la pierre à bâtir, il y a un manque quasi total de loisirs. Se retrouver en groupe, aller au cyber du coin, essayer d´être de son temps en pianotant sur un clavier n´est pas donné à tous car pour cela il faut le nerf de la guerre.
    A Mechtras comme un peu partout dans les petites villes de Kabylie hormis Draâ Ben Khedda, Beni Douala, Bouzeguène et bien sûr Tizi Ouzou, il manque une bibliothèque. La localité de Mechtras est en train de devenir doucement mais sûrement une petite ville, pour peu que les gens ne touchent pas à l´écrin, ce sera toujours la vallée des dieux.

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  • La pollution bat son plein

    Source : depechedekabylie 20 Juillet 2015
    La pollution bat son plein

     

    À Mechtras, une commune au sud de Tizi-Ouzou, l’environnement est toujours en déclin. La pollution se fait plus menaçante de jour en jour.

    Les dégâts sont déjà assez importants puisque toutes les rivières de la commune sont polluées ; des centaines de puits et les fontaines publiques connaissent le même sort. Le foisonnement des déchets et la multiplication des dépotoirs sauvages donnent une hideuse image de la localité, et menacent de venir à bout de la belle plaine de Mechtras. La collecte des ordures ménagères n’est ni régulière ni généralisée. Le réseau de l’assainissement est vétuste, ce qui favorise l’apparition de plusieurs points noirs à travers la localité. Sachant que Mechtras est une région connue pour être riche en ressource hydrique, ce qui peut être à l’origine d’une pollution généralisée. La décharge communale a été fermée et la nouvelle station d’épuration dont on parle depuis des années n’est, semble-t-il, pas encore à l’ordre du jour. C’est dire qu’il y a une véritable menace sur l’environnement à Mechtras. Mr Tebbakh Arab, le maire de Mechtras que nous avons questionné à ce propos, confirmera : «En effet, il y a un problème d’ordre environnemental dans notre commune. La pollution bat son plein. La collecte des ordures ménagères n’est assurée qu’à hauteur de 30%. Nous n’avons que 3 véhicules pour le ramassage des ordures. Pire encore, 4 des 10 éboueurs sont souvent en congé de maladie. Ce qui fait que l’opération de ramassage des déchets se déroule avec 5 ou 6 ouvriers, ce qui est très insuffisant pour assurer une parfaite collecte. Nous demandons plus de moyens humains et plus de véhicules». Signalons qu’à Mechtras, on dénombre au moins 11 dépôts de vente de boissons alcoolisées et 3 bars restaurants sur uniquement la RN30 et le CW147. Ce qui, évidemment, est à l’origine du foisonnement excessif des bouteilles vides, de canettes et du carton. Si l’on rajoute les ordures ménagères, l’addition se corse, et les 6 agents de nettoyage ne peuvent à eux seuls garantir la propreté de la municipalité. Rappelons que la commune a acheté et placé des bacs à ordures dans toutes les places publiques mais certaines sont endommagées et parfois volées. Les incivilités et le laisser-aller font de Mechtras une localité où l’environnement est, hélas, le parent le plus pauvre. Signalons que le centre d’enfouissement technique de Boghni, dont l’ouverture était prévue pour le mois d’août 2014, n’est toujours pas opérationnel, car l’accès n’est pas encore aménagé et la bascule indisponible.


    Hocine T.

     

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  • Par Hocine T | 7 Octobre 2014 | 1320 lecture(s)

    MECHTRAS : ENTRETIEN AVEC LE P/APC, TEBBAKH ARAB

    «Beaucoup reste à faire»

    M. Tebbakh Arab, âgé de 48 ans,père de 3 enfants et professeur d’enseignement secondaire, est devenu maire FLN de Mechtras depuis les dernières élections locales de décembre 2012, grâce notamment à la coalition qu’il a contractée avec les élus du Front des Forces Socialistes faisant ainsi barrage au RCD qui n’a réussi qu’à avoir une majorité partielle de 6 sièges. M. Tebbakh a bien voulu répondre à nos questions.

    La Dépêche de Kabylie :Voulez vous nous parler de l’état des lieux que vous avez hérité de vos prédécesseurs ?

    M.Tebbakh: Pour résumer l’état des lieux dont nous avons hérité en une seule phrase, je dirai que la situation était loin d’être enviable. A commencer par le plan de gestion des ressources humaines qui laissait à désirer et qui se répercute négativement sur la concrétisation de nos projets et les prestations de service. Plein de chantiers étaient à la traîne et d’autres à lancer. Il y avait aussi des manques flagrants dans tous les secteurs que ce soit économique, culturel, sportif et infrastructure de base. Il fallait tout repenser et tout réaliser au même temps alors que les procédures de travail ont changé. Il fallait s’adapter et ensuite assainir les situations antécédentes et enfin réaliser son propre programme à la base duquel nous sommes élus.

    Pouvez-vous nous donner plus de précisions ?
    Nous avons trouvé un personnel qui avait besoin de plus de formation pour être au diapason. Plusieurs chantiers étaient à la traîne à l’image du nouveau siège de mairie et de la bibliothèque communale. Les infrastructures culturelles et sportives étaient toutes dans un état de dégradation. Le taux de couverture en assainissement était insuffisant. Les réseaux de l’électricité et du gaz naturel n’étaient pas généralisés et l’aménagement urbain n’était pas à l’ordre du jour. Les dossiers de l’habitat rural et du logement avaient besoin d’être assainis. Le secteur de la santé publique était également en souffrance puisque notre commune ne dispose même pas d’une polyclinique. C’est vous dire que le chantier est grand et a besoin de l’union des forces de Mechtras, de temps et d’argent.

    Comment alors vous vous êtes pris pour amorcer le redressement de la barre ?
    En effet, nous venons juste d’entamer le redressement de la barre. Nous avons d’abord multiplié les démarches pour faire avancer le chantier du nouveau siège de l’APC qui est à présent en voie d’achèvement. Nous avons également entrepris les démarches pour relancer le chantier de la bibliothèque communale dont les consultations sont en cours. Nous avons aussi assaini les opérations PCD de 2012 de 2013 et celles de 2014 viennent d’être visées par le contrôle financier. D’ailleurs, nous invitons les entreprises ayant reçu leurs ODS à entamer les travaux. L’aménagement du carrefour de Tahechat dans le cadre des PSD est en cours de réalisation et le revêtement du CW 147 dans le même cadre se fera sous peu et demandons à l’occasion aux travaux publics de prévoir l’élargissement de ce chemin trop étroit à partir d’Ighil Oumenchar. Nous avons réhabilité notre stade communal et relancé notre club qui évolue en championnat de wilaya. Nous avons également essayé de relancer le mouvement associatif en aidant les jeunes à s’organiser. Deux associations sont déjà créées et la 3ème est en voie de l’être et concerne la frange des handicapés. Nous avons aussi instauré la fête de la plaquemine qui est à présent à sa deuxième édition. Le foyer des jeunes d’Ait Imghour est inscrit pour bénéficier de travaux de réhabilitation.

    Parlons des réseaux d’assainissement, du gaz et de l’électricité ?
    Le réseau d’assainissement dans notre commune est vétuste et insuffisant. Une pollution à grande échelle pourrait facilement survenir. Nous avons alors accordé une importance capitale à l’éradication des fosses septiques. Ceux-ci en réalisant 2,7 kilomètres de tronçon d’assainissement et 2,9 kilomètres seront incessamment réalisés. Ce sera un total de 6 kilomètres d’assainissement qui est réalisé pour mettre un terme aux fosses septiques et préserver la nappe phréatique de la pollution. Pour ce qui est du gaz naturel, les foyers omis au chef lieu seront bientôt raccordés au réseau et l’extension du réseau de l’électricité est prévue. Nous avons aussi lancé les travaux de la réhabilitation de la Fontaine du roi et nous comptons exploiter son eau. Sur le plan de l’aménagement urbain, nous avons établi des fiches techniques pour l’extension de l’éclairage public et la réalisation de trottoirs. Nous demandons d’ailleurs à la DUC de nous faire bénéficier, à l’image de toutes les communes, d’un projet de l’amélioration urbaine car notre chef-lieu est dans un état chaotique. Pour ce qui est de l’habitat rural, nous avons assaini ce dossier et n’avons malheureusement bénéficié que de 130 aides alors que nous totalisons des centaines de demandes. Nous allons aussi faire de notre mieux pour décrocher des projets de réalisation d’un lycée, d’une polyclinique et d’une piscine semi olympique. Nous avons aussi des excédents financiers remontant à 2012, que nous comptons utiliser pour acquérir 1 benne Tasseuse, 2 trolleys, 1 véhicule de service et 1 camion citerne; la procédure d’acquisition est en cours. Nous avons d’ailleurs déjà réceptionné 1 camion de type K120.

    Avez-vous rencontré des entraves lors de l’application de votre programme ?
    Les difficultés, il y en a eu et il y en aura sûrement à l’avenir, il faut juste savoir les gérer et ne pas tomber dans la précipitation. La première entrave à laquelle nous nous sommes confrontés est surtout celle liée à la nouvelle procédure de travail avec le contrôle financier. Nos techniciens n’étant pas expérimentés, le CF se montrait parfois exigeant. A présent, je pense que les choses sont rentrées dans l’ordre et nous tenons d’ailleurs à remercier le CF pour sa collaboration. Nos envisageons bien sûr de prévoir des sessions de formation pour le personnel de notre APC pour plus d’efficacité dans le travail. L’insuffisance des montants accordés dans le cadre des PCD et la rareté des PSD font retarder l’échéance du développement de notre commune. Nous appelons les responsables compétents en vue de nous allouer plus de subventions pour prendre en charge les préoccupations légitimes des citoyens de Mechtras auxquels je demande d’adhérer à notre démarche et de nous aider à faire sortir Mechtras de son sous développement. Notre commune a besoin de l’apport de tous ses hommes et de toutes ses femmes, peu importe leur couleur politique, car beaucoup reste à faire.

    Entretien réalisé par Hocine T

     

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  • La plaquemine met sous les projecteurs Mechtras

    Foire. Durant deux jours, la commune de Mechtras (Amechras en Kabyle)  située à près de 30 km au sud du chef-lieu de Wilaya a célébré la plaquemine, un fruit qui revient à la mode ces derniers temps.

     

     

    Effectivement, ce fruit inconnu jusque-là pour la majorité des Algériens se fait désormais, petit à petit,  une place dans les emplettes des ménages. La troisième édition de la fête dédiée à ce fruit, s’est tenu au CFPA de Mechtras les 16 et 17 de ce mois d’octobre 2015 qui coïncide  avec le 17 octobre 1961  grâce à la persévérance des organisateurs. « Le CFPA, lieu de la manifestation, n’a pas été choisi par hasard. Il était durant la guère de Libération un lieu de torture de l’armée française. Beaucoup de nos citoyens ont laissé leur vie ici dans ce lieu de triste mémoire », fait savoir le président de l’APC d’Amechras M. Debakh Arab. Après la cérémonie d’inauguration qui a vu la participation des autorités locales, des invités d’honneur délégués par les autres communes limitrophes, du député Saïd Lakhdari, un carnaval a égayé le regard des curieux tout le long des artères du chef-lieu de la commune jusqu’au siège du CFPA.  Dès le premier jour, le fruit est exposé au grand jour dans toute sa beauté rougeâtre. Dans de petits paniers en osiers et roseaux coupés, le bellissime fruit incite à la dégustation. Dans la bouche, il déverse toute sa texture sucrée et suave. Des expositions de poterie, d’articles d’osier sans oublier la robe kabyle jonchent les allées du CFPA. « Faire connaitre ce fruit aux mille vertus et sortir la localité de Mechtras de l’anonymat est l’objectif principal des organisateurs », ajoute l’édile municipal.  Les responsables de cette commune dépouillée et sans ressources tentent de dénicher d’autres créneaux pour espérer des ressources avenantes. Le développement local passe par l’agriculture de montagne. Pour cela, on peut dire que le pari est réussi. Le plaqueminier, dont le fruit ressemble étrangement à de la tomate, est  un arbre originaire d’Asie, de Chine très exactement, de la famille des ébénacées. Ce fruit est aussi appelé communément Kaki. En Europe, il a fait son apparition dès le XVIIe siècle grâce à des botanistes explorateurs comme Mattéo Ricci. Pour populariser cette manifestation, les organisateurs ont concocté un riche programme de festivités s’étalant sur deux longues journées gâtées pour la circonstance par un ensoleillement printanier au grand plaisir des visiteurs. Un concours de dessin et de cuisine est organisé sur place pour permettre aux virtuoses de la région de se faire découvrir. Du théâtre, à travers la célèbre pièce de Mohia Tacbaylit,  et une exhibition d’arts martiaux sont prévues dés la première journée. Pour la deuxième journée, les chouhadas assassinés par l’armée coloniale sont honorés et tirés de l’oubli. Des mannequins ont défilé lors d’un concours de mode plein de couleur. Grace à la créativité des couturières locales, le défilé a tenu toutes ses promesses captivant toute l’attention des présents. Pour ne pas faire que dans le folklore et le festif, les initiateurs de l’événement ont tenu à rendre un vibrant hommage à un grand Monsieur de la chanson kabyle en la personne de l’illustre monument Lounes Kheloui. Lounès Kheloui s’amoncèle derrière lui une œuvre artistique inestimable.  «  Comme ils m’ont honoré, moi aussi je les honore et je reviendrai toutes les fois qu’ils feront appel à moi. Que les organisateurs soient remerciés à travers le quotidien La Cité », tient à dire M. Kheloui Lounès. A la fin de la manifestation, une collation et une remise de prix aux participants a été organisée.

    R Benamghar

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  • MECHTRAS, LE VILLAGE DE LA GENDARMERIE ET DES QUARANTE BARS

    Par A. M’hand Akli.

    Selon Mouloud Mammeri Mechtras grand carrefour de la vallée du Djurdjura, est le nom d’un gladiateur berbère qui aurait fui l’armée romaine…

    C’est l’un des plus beaux villages de la vallée du Djurdjura. A peine 12000 habitants. Les quarante fontaines qui l’entourent lui donnent un charme particulièrement resplendissant. Chaque fontaine à sa propre légende. Les zaouïas et les écoles coraniques y ont fleuri jusqu’à une date récente. Si Mohand U M’hand, Cheikh Mohand sont venus chercher la bénédiction de Sid Ali Outoumi et de Cheikh Mohand El Mokhtar dans la fontaine du « Roi ». L’Emir Abdelkader,  Ben Badis, Messali, Ben Boulaid, El Ouartalani et la famille de cheikh Belhadad y ont séjourné durant plusieurs jours… Mais aujourd’hui, les « quarante saints » du Djurdjura qui veillaient jadis au bonheur de toute la vallée semblent proscrits. Plus qu’aucun village en Kabylie, Mechtras est précédé par une réputation de bourgade dangereuse à l’insécurité importante. La réalité, c’est que Mechtras, jadis royaume des Igjdal  dont l’autorité religieuse et militaire planait de la confédération des Ait Sedka ( Ouadhias) jusqu’à  Tizi Nait Aicha (aujourd’hui Tenia-Boumerdes), en dépit de la législation en vigueur, compte plus de lieux de débauche et de bars que d’habitants.

    Selon de nombreux témoignages, ces lieux de débauche sont à la solde de hauts dignitaires de la gendarmerie nationale. « Nous avons saisi la presse et le Wali pour mettre un terme à cette humiliation, mais aucune suite n’a été donnée à notre démarche », raconte un membre de la Djemaa de Tazrout. « Plus que cela, la presse, notamment les journaux Liberté et La dépêche de Kabylie ont rapporté des versions invraisemblables selon lesquelles on soutient les propriétaires de ces lieux de débauche », a-t-il encore ajouté. Déjà au lendemain de l’enlèvement du citoyen Hamouni, de nombreux villageois ont décidé d’attaquer  la brigade de gendarmerie accusée publiquement de protéger ces lieux de débauche qui empoisonnent la vie au village. Ce climat particulièrement explosif  a conduit la sûreté de wilaya de Tizi ouzou a procédé à la fermeture de certains lieux de débauche. Cependant, selon de nombreux témoignages, des délinquants encouragés par les éléments de la gendarmerie nationale, ont fait une expédition punitive contre le commissariat de la ville de Boghni, au cours de laquelle plusieurs policiers ont été blessés. « Ici à Mechtras, nous sommes les prisonniers de la gendarmerie », explique à son tour un membre de la Djemaa des Ait Ali Aissa. Hier encore, alors que la police de Boghni procédait à la fermeture d’autres lieux de débauche avec en guise l’arrestation de plus d’une cinquantaine de filles de joie venues pour la plupart de l’Ouest du pays, la ville de Boghni a été le théâtre d’affrontements entre policiers et délinquants armés qui réclamaient la libération des filles et la réouverture de ces maisons de pass

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  • Résultat de recherche d'images pour "MECHTRAS PHOTOS  GUERRE D'ALGERIE"

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  • Les années 1950-1960

    Registre des ouvriers algériens du douar de Mechtras ayant émigré en France depuis 1906, années 1940

    Aix-en-Provence, Archives nationales d’outre-mer, 5 SAS 114

    L’usage des fichiers par le régime de Vichy a laissé des traces et, dans les années d’après-guerre, le devenir des dispositifs « d’encartement » des citoyens fait l’objet de nombreux débats. Certes, la police judiciaire continue à œuvrer selon les méthodes héritées de Bertillon et la Sûreté nationale reconstitue patiemment le fichier central disparu en 1940, mais c’est l’identification des citoyens à travers une carte d’identité obligatoire qui soulève le plus de questions. En 1955, le ministère de l’Intérieur décide finalement d’instaurer une carte nationale d’identité facultative, d’un modèle unique, gérée seulement à l’échelon départemental, par les préfectures. Le ministère de l’Intérieur prend ainsi ses distances avec Vichy. Les conflits liés à la décolonisation et surtout la guerre d’Algérie provoquent toutefois une recrudescence dans la création de fichiers et l’instauration de pratiques inédites. À Paris, le fichage des « Français musulmans d’Algérie » donne lieu à une première utilisation des cartes perforées. D’une manière générale, le recours à l’informatique naissante apparaît indispensable, l’intervention humaine n’étant plus assez performante pour assimiler les données nominatives dans un pays qui connaît alors une forte croissance démographique. En 1967, les seuls services centraux et parisiens de la Police nationale détiennent 130 millions de fiches ! Bien plus que le portrait en couleur qui s’impose peu à peu dans la photographie d’identité à partir des années 1970, c’est l’informatique qui commence à modifier en profondeur les modalités d’identification des individus par les autorités.

     

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  • Les années 1950-1960 | Criminocorpus

     

    Les années 1950-1960

     

    Archives nationales

    430. Les années 1950-1960 431. Registre des ouvriers algériens du douar de Mechtras ayant émigré en France depuis 1906, années 1940 432. Les fichiers de la décolonisation - la guerre d'Algérie 433. Dossier nominatif de la Sûreté française en Indochine sur Ho Chi Minh, années 1950 434. Fiches de renseignement sur des caïds marocains, années 1940 435. Fiches de renseignement sur des caïds marocains, années 1940 436. Fiches de renseignement sur des caïds marocains, années 1940 437. Fiches de renseignement sur des chefs de tribus, années 1950 438. Fiches de renseignement sur des chefs de tribus, années 1950 439. Fiches de renseignement sur des chefs de tribus, années 1950 440. Fiches de renseignement sur des nationalistes marocains, 1945 441. Formulaires de demandes de certificats de recensement de la population des Heuraouas, 1960-1961. 442. Formulaires de demandes de certificats de recensement de la population des Heuraouas, 1960-1961. 443. Formulaires de demandes de certificats de recensement de la population des Heuraouas, 1960-1961. 444. Certificat de recensement, 1959 445. Certificat de recensement, 1959 446. A l'aube de l'informatique, les fichiers d'un pays en pleine mutation 447. Fichier des étudiants de la faculté des lettres et des sciences humaines de Paris, 1945-1975. 448. Fichier des étudiants de la faculté des lettres et des sciences humaines de Paris, 1945-1975. 449. Fichier des étudiants de la faculté des lettres et des sciences humaines de Paris, 1945-1975. 450. Fichier des étudiants de la faculté des lettres et des sciences humaines de Paris, 1945-1975. 452. Fichier des étudiants de la faculté des lettres et des sciences humaines de Paris, 1945-1975. 453. Peignage Amédée, fichier du personnel né avant 1903 ou décédé, années 1950-1960 454. Peignage Amédée, fichier du personnel né avant 1903 ou décédé, années 1950-1960
     
     
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