• Le porteur de la “valise historique” d’Ighil-Imoula se souvient

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  • Témoignage de L…Abdelkader, moghzani durant cinq ans à la S.A.S. de Mechtras : 
    « au cessez-le-feu les rebelles nous ont mis en confiance. Ils nous ont fait déserter. J’ai moi-même déserté. Ils nous ont regroupés dans des camps, pris notre argent, nos armes, nos bijoux…Ils ont formé des camarades choisis parmi les plus jeunes et les plus courageux pour aller combattre l’O.A.S. 
    Apres le 1er juillet nous avons compris notre erreur. Nous avons manifesté notre mécontentement. Une vingtaine d’entre nous ont été exécutés immédiatement. La surveillance relâchée après plusieurs jours nous nous sommes révoltés. Une trentaine de harkis et de moghzanis ont été abattus, plusieurs évasions. Les autres je n’ai plus rien su d’eux pendant que j’étais sous la protection française. »

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    Par Hocine T. | 11 Novembre 2013 

    MECHTRAS - LE VILLAGE IHESNAOUEN N’A PAS OUBLIÉ

    Hommage aux chahids Saïd Djebari et Saïd Ameziane

    Les villageois d’Ihesnaouen, dans la commune de Mechtras, relevant de la daïra de Boghni au sud de la wilaya de Tizi-Ouzou, ont vécu, samedi dernier, une journée mémorable et pleine d’émotion.

    L’association culturelle Tala Ouglidh et l’ONM locale ont organisé une grandiose cérémonie pour rendre un vibrant hommage, aux deux Chahid, fusillés par l’armée coloniale en janvier 1959. Il s’agit des martyrs Djebari Saïd et Ameziane Saïd. Deux glorieux révolutionnaires qui non seulement partageaient le même prénom, mais aussi le même destin. L’armée coloniale n’a pas trouvé mieux, pour annihiler leur détermination à lutter que de les exécuter au beau milieu de leur village et en présence de leurs familles et des villageois. Un crime odieux que les Mechtrassiens gardent encore en mémoire avec des séquelles indélébiles et inguérissables. Pour se remémorer cette scène tragique et rendre hommage aux deux Chahid, l’association Tala Ouglidh et l’ONM ont concocté un riche programme pour honorer leurs héros. Tôt dans la matinée du samedi, la placette du village fut envahie par une foule nombreuse, venue assister à la cérémonie. Après le dépôt d’une gerbe de fleurs sur les lieux même où ont été exécutés les deux héros et une minute de silence observée à leur mémoire, les Moudjahid et les Moudhahidates encore en vie sont montés sur la scène pour des témoignages ô combien émouvants. Des témoignages mettant en exergue le courage des deux martyres et leur engagement pour la libération du pays du joug colonial. Des poèmes rendant hommage aux Chahid de la glorieuse révolution ont été déclamés par l’animateur de la cérémonie. La troupe théâtrale a ensuite merveilleusement présenté l’émouvante scène de l’exécution des deux martyres. Certains présents n’ont pas pu retenir leurs larmes. La foule s’est ensuite ébranlée pour rejoindre l’école primaire, distante de plus d’un kilomètre, qui allait être baptisée au nom de feu Djebari Saïd. D’autres témoignages ont eu lieu sur place, à l’image de Nna Tassadit, une Moudjahida, encore en vie, qui a narré à la nombreuse assistance les souffrances, les sévices et la torture que lui ont fait subir les soldats français. Comme pour montrer la véracité de ses propos, elle n’a pas hésité à montrer les traces, sur son bras, de morsures des chiens que les soldats de l’armée coloniale ont lâchés sur elle. Une pièce théâtrale intitulée la femme du Chahid a été interprété par la troupe de la maison des jeunes de Mechtras. Enfin, une collation a été offerte aux présents et une séance de remise de cadeaux symboliques aux familles des deux Chahid et des participants a également eu lieu.

    M. Frik Ali, représentant de l’ONM et Moudjahid, qui a assisté à l’événement, nous dira que Saïd Djebari est né le 18 septembre 1927 à Mechtras. Après avoir suivi ses études primaires, il abandonne ses études et travaille comme agriculteur, jusqu’en 1949 où il adhéra au PPA. En 1955, il émigre en France et continue son combat. Vers la fin de la même année, il revient au pays et devient Moussebbel. En 1958, il prend le chemin du maquis et devient membre de l’ALN. Il a été capturé vivant par l’armée coloniale et fut exécuté à la place du village Ihesnaouen le 01/01/1959. Avant de mourir, il a eu le courage de prendre la parole et dire à sa mère, qui refusait de répondre aux militaires Français, «dis leurs je le connais, c’est mon fils, il s’appelle Djebari Saïd, avant de cracher sur ses bourreaux. Le Chahid a laissé une femme et deux enfants en bas âge». Concernant le second martyr, à savoir Ameziane Saïd, notre interlocuteur dira qu’il est né le 30 octobre1924 à Mechtras. Il devient Moussebel en 1956, avant de s’engager dans l’armée de libération nationale en juillet 58. Il a été capturé avec Djebari Saïd et exécuté le même jour, dans les mêmes conditions. Il a laissé 3 orphelines». Pour sa part, le maire de Mechtras nous dira à la fin de cérémonie : «Nous allons faire de notre mieux pour écrire l’histoire de la Révolution dans notre commune. Nous allons, au fur et à mesure, rendre hommage à tous les Chouhada de Mechtras. Il est de notre de devoir d’accomplir un travail de mémoire. Un peuple qui ne connait pas son histoire ne pourra jamais construire son avenir».

    Hocine T.

     

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  •  La vallée divine 

    MECHTRAS


    A SAID Publié dans L'Expression le 11 - 11 - 2008


    Mechtras est célèbre pour sa fontaine Tala Ouguelid, une source prenant naissance sur les hauteurs du Djurdjura
    Mechtras est une commune de la daïra de Boghni. Le chef-lieu s´étire doucement le long de la RN3 menant de Boghni aux Ouadhias. Des commerces divers, des cafés, un service des postes, un collège, des écoles primaires et aussi une école de formation en agriculture qui avait eu ses heures de gloire, Mechtras est célèbre pour sa fontaine Tala Ouguelid, une source prenant naissance du haut du Djurdjura et dont l'eau est proche d´une eau minérale.
    Par un savant tracé, les eaux en surplus circulent dans des rigoles servant à arroser les magnifiques jardins de la localité où le vert est dominant. Mechtras est aussi le jardin où l´on peut facilement trouver les beaux légumes et les beaux fruits, notamment les grenades, ces beaux fruits tentants avec leurs beaux grains rouges et juteux ou encore ses pacanes en attendant les belles oranges du cru. A Mechtras on ne peut guère s´ennuyer. La nature d´une beauté captivante est là pour vous faire oublier les tracas et les soucis. D´ailleurs vue depuis les hauteurs d´Ighil Ou Menchar ou encore depuis les Beni Bouaddou, Mechtras apparaît lovée dans un écrin de verdure: une vallée riante, une vallée des dieux. Il est bon de s´arrêter en cette localité et à écouter les gens vous parler de ce Chahid, qui dans les années cinquante, a en surpris plus d´un en fabricant de ses mains, un bateau miniature qui se mouvait à l´aide d´un moteur.
    Cet inventeur, mort les armes à la main pour la patrie, peut être considéré comme le premier en cette région à avoir tenté et réussi une invention. Les gens de Mechtras ont pour lieu de rencontre le marché hebdomadaire du dimanche, un marché qui se tient à Boghni distant de quatre km. Mais la plupart des gens de la localité adorent se retrouver au lieudit La Baraque, près de la mairie. Selon les jeunes gens de la localité à Mechtras où l´eau n'est pas un problème et l´électricité pratiquement dans tous les foyers, il reste en sus du chômage, des jeunes gens dont la plupart, se retrouvent à casser des rochers pour en faire de la pierre à bâtir, il y a un manque quasi total de loisirs. Se retrouver en groupe, aller au cyber du coin, essayer d´être de son temps en pianotant sur un clavier n´est pas donné à tous car pour cela il faut le nerf de la guerre.
    A Mechtras comme un peu partout dans les petites villes de Kabylie hormis Draâ Ben Khedda, Beni Douala, Bouzeguène et bien sûr Tizi Ouzou, il manque une bibliothèque. La localité de Mechtras est en train de devenir doucement mais sûrement une petite ville, pour peu que les gens ne touchent pas à l´écrin, ce sera toujours la vallée des dieux.

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  • Par Hocine T | 7 Octobre 2014 | 1320 lecture(s)

    MECHTRAS : ENTRETIEN AVEC LE P/APC, TEBBAKH ARAB

    «Beaucoup reste à faire»

    M. Tebbakh Arab, âgé de 48 ans,père de 3 enfants et professeur d’enseignement secondaire, est devenu maire FLN de Mechtras depuis les dernières élections locales de décembre 2012, grâce notamment à la coalition qu’il a contractée avec les élus du Front des Forces Socialistes faisant ainsi barrage au RCD qui n’a réussi qu’à avoir une majorité partielle de 6 sièges. M. Tebbakh a bien voulu répondre à nos questions.

    La Dépêche de Kabylie :Voulez vous nous parler de l’état des lieux que vous avez hérité de vos prédécesseurs ?

    M.Tebbakh: Pour résumer l’état des lieux dont nous avons hérité en une seule phrase, je dirai que la situation était loin d’être enviable. A commencer par le plan de gestion des ressources humaines qui laissait à désirer et qui se répercute négativement sur la concrétisation de nos projets et les prestations de service. Plein de chantiers étaient à la traîne et d’autres à lancer. Il y avait aussi des manques flagrants dans tous les secteurs que ce soit économique, culturel, sportif et infrastructure de base. Il fallait tout repenser et tout réaliser au même temps alors que les procédures de travail ont changé. Il fallait s’adapter et ensuite assainir les situations antécédentes et enfin réaliser son propre programme à la base duquel nous sommes élus.

    Pouvez-vous nous donner plus de précisions ?
    Nous avons trouvé un personnel qui avait besoin de plus de formation pour être au diapason. Plusieurs chantiers étaient à la traîne à l’image du nouveau siège de mairie et de la bibliothèque communale. Les infrastructures culturelles et sportives étaient toutes dans un état de dégradation. Le taux de couverture en assainissement était insuffisant. Les réseaux de l’électricité et du gaz naturel n’étaient pas généralisés et l’aménagement urbain n’était pas à l’ordre du jour. Les dossiers de l’habitat rural et du logement avaient besoin d’être assainis. Le secteur de la santé publique était également en souffrance puisque notre commune ne dispose même pas d’une polyclinique. C’est vous dire que le chantier est grand et a besoin de l’union des forces de Mechtras, de temps et d’argent.

    Comment alors vous vous êtes pris pour amorcer le redressement de la barre ?
    En effet, nous venons juste d’entamer le redressement de la barre. Nous avons d’abord multiplié les démarches pour faire avancer le chantier du nouveau siège de l’APC qui est à présent en voie d’achèvement. Nous avons également entrepris les démarches pour relancer le chantier de la bibliothèque communale dont les consultations sont en cours. Nous avons aussi assaini les opérations PCD de 2012 de 2013 et celles de 2014 viennent d’être visées par le contrôle financier. D’ailleurs, nous invitons les entreprises ayant reçu leurs ODS à entamer les travaux. L’aménagement du carrefour de Tahechat dans le cadre des PSD est en cours de réalisation et le revêtement du CW 147 dans le même cadre se fera sous peu et demandons à l’occasion aux travaux publics de prévoir l’élargissement de ce chemin trop étroit à partir d’Ighil Oumenchar. Nous avons réhabilité notre stade communal et relancé notre club qui évolue en championnat de wilaya. Nous avons également essayé de relancer le mouvement associatif en aidant les jeunes à s’organiser. Deux associations sont déjà créées et la 3ème est en voie de l’être et concerne la frange des handicapés. Nous avons aussi instauré la fête de la plaquemine qui est à présent à sa deuxième édition. Le foyer des jeunes d’Ait Imghour est inscrit pour bénéficier de travaux de réhabilitation.

    Parlons des réseaux d’assainissement, du gaz et de l’électricité ?
    Le réseau d’assainissement dans notre commune est vétuste et insuffisant. Une pollution à grande échelle pourrait facilement survenir. Nous avons alors accordé une importance capitale à l’éradication des fosses septiques. Ceux-ci en réalisant 2,7 kilomètres de tronçon d’assainissement et 2,9 kilomètres seront incessamment réalisés. Ce sera un total de 6 kilomètres d’assainissement qui est réalisé pour mettre un terme aux fosses septiques et préserver la nappe phréatique de la pollution. Pour ce qui est du gaz naturel, les foyers omis au chef lieu seront bientôt raccordés au réseau et l’extension du réseau de l’électricité est prévue. Nous avons aussi lancé les travaux de la réhabilitation de la Fontaine du roi et nous comptons exploiter son eau. Sur le plan de l’aménagement urbain, nous avons établi des fiches techniques pour l’extension de l’éclairage public et la réalisation de trottoirs. Nous demandons d’ailleurs à la DUC de nous faire bénéficier, à l’image de toutes les communes, d’un projet de l’amélioration urbaine car notre chef-lieu est dans un état chaotique. Pour ce qui est de l’habitat rural, nous avons assaini ce dossier et n’avons malheureusement bénéficié que de 130 aides alors que nous totalisons des centaines de demandes. Nous allons aussi faire de notre mieux pour décrocher des projets de réalisation d’un lycée, d’une polyclinique et d’une piscine semi olympique. Nous avons aussi des excédents financiers remontant à 2012, que nous comptons utiliser pour acquérir 1 benne Tasseuse, 2 trolleys, 1 véhicule de service et 1 camion citerne; la procédure d’acquisition est en cours. Nous avons d’ailleurs déjà réceptionné 1 camion de type K120.

    Avez-vous rencontré des entraves lors de l’application de votre programme ?
    Les difficultés, il y en a eu et il y en aura sûrement à l’avenir, il faut juste savoir les gérer et ne pas tomber dans la précipitation. La première entrave à laquelle nous nous sommes confrontés est surtout celle liée à la nouvelle procédure de travail avec le contrôle financier. Nos techniciens n’étant pas expérimentés, le CF se montrait parfois exigeant. A présent, je pense que les choses sont rentrées dans l’ordre et nous tenons d’ailleurs à remercier le CF pour sa collaboration. Nos envisageons bien sûr de prévoir des sessions de formation pour le personnel de notre APC pour plus d’efficacité dans le travail. L’insuffisance des montants accordés dans le cadre des PCD et la rareté des PSD font retarder l’échéance du développement de notre commune. Nous appelons les responsables compétents en vue de nous allouer plus de subventions pour prendre en charge les préoccupations légitimes des citoyens de Mechtras auxquels je demande d’adhérer à notre démarche et de nous aider à faire sortir Mechtras de son sous développement. Notre commune a besoin de l’apport de tous ses hommes et de toutes ses femmes, peu importe leur couleur politique, car beaucoup reste à faire.

    Entretien réalisé par Hocine T

     

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  • Les années 1950-1960

    Registre des ouvriers algériens du douar de Mechtras ayant émigré en France depuis 1906, années 1940

    Aix-en-Provence, Archives nationales d’outre-mer, 5 SAS 114

    L’usage des fichiers par le régime de Vichy a laissé des traces et, dans les années d’après-guerre, le devenir des dispositifs « d’encartement » des citoyens fait l’objet de nombreux débats. Certes, la police judiciaire continue à œuvrer selon les méthodes héritées de Bertillon et la Sûreté nationale reconstitue patiemment le fichier central disparu en 1940, mais c’est l’identification des citoyens à travers une carte d’identité obligatoire qui soulève le plus de questions. En 1955, le ministère de l’Intérieur décide finalement d’instaurer une carte nationale d’identité facultative, d’un modèle unique, gérée seulement à l’échelon départemental, par les préfectures. Le ministère de l’Intérieur prend ainsi ses distances avec Vichy. Les conflits liés à la décolonisation et surtout la guerre d’Algérie provoquent toutefois une recrudescence dans la création de fichiers et l’instauration de pratiques inédites. À Paris, le fichage des « Français musulmans d’Algérie » donne lieu à une première utilisation des cartes perforées. D’une manière générale, le recours à l’informatique naissante apparaît indispensable, l’intervention humaine n’étant plus assez performante pour assimiler les données nominatives dans un pays qui connaît alors une forte croissance démographique. En 1967, les seuls services centraux et parisiens de la Police nationale détiennent 130 millions de fiches ! Bien plus que le portrait en couleur qui s’impose peu à peu dans la photographie d’identité à partir des années 1970, c’est l’informatique qui commence à modifier en profondeur les modalités d’identification des individus par les autorités.

     

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  • Les années 1950-1960 | Criminocorpus

     

    Les années 1950-1960

     

    Archives nationales

    430. Les années 1950-1960 431. Registre des ouvriers algériens du douar de Mechtras ayant émigré en France depuis 1906, années 1940 432. Les fichiers de la décolonisation - la guerre d'Algérie 433. Dossier nominatif de la Sûreté française en Indochine sur Ho Chi Minh, années 1950 434. Fiches de renseignement sur des caïds marocains, années 1940 435. Fiches de renseignement sur des caïds marocains, années 1940 436. Fiches de renseignement sur des caïds marocains, années 1940 437. Fiches de renseignement sur des chefs de tribus, années 1950 438. Fiches de renseignement sur des chefs de tribus, années 1950 439. Fiches de renseignement sur des chefs de tribus, années 1950 440. Fiches de renseignement sur des nationalistes marocains, 1945 441. Formulaires de demandes de certificats de recensement de la population des Heuraouas, 1960-1961. 442. Formulaires de demandes de certificats de recensement de la population des Heuraouas, 1960-1961. 443. Formulaires de demandes de certificats de recensement de la population des Heuraouas, 1960-1961. 444. Certificat de recensement, 1959 445. Certificat de recensement, 1959 446. A l'aube de l'informatique, les fichiers d'un pays en pleine mutation 447. Fichier des étudiants de la faculté des lettres et des sciences humaines de Paris, 1945-1975. 448. Fichier des étudiants de la faculté des lettres et des sciences humaines de Paris, 1945-1975. 449. Fichier des étudiants de la faculté des lettres et des sciences humaines de Paris, 1945-1975. 450. Fichier des étudiants de la faculté des lettres et des sciences humaines de Paris, 1945-1975. 452. Fichier des étudiants de la faculté des lettres et des sciences humaines de Paris, 1945-1975. 453. Peignage Amédée, fichier du personnel né avant 1903 ou décédé, années 1950-1960 454. Peignage Amédée, fichier du personnel né avant 1903 ou décédé, années 1950-1960
     
     
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