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  • Par DDK | 28 fev 2018.

    TIZI-OUZOU - Sud de la wilaya

    Les enseignements de cinq jours sans eau

     Les communes des daïras de Boghni et des Ouadhias ont été privées d'eau potable pendant cinq jours, suite au déboitement de la conduite alimentant les principaux réservoirs d'eau de la région. Aujourd'hui, alors que la situation se rétablit progressivement après la réparation, dans la nuit d’hier, de la conduite endommagée, plusieurs enseignements sont à tirer. Le premier et le plus important, c’est cette solidarité agissante entre les communes et les différents services de gestion d'eau. L'exemple de ce dévouement pour régler le problème à temps nous vient du P/APC de Draâ El-Mizan, qui a mis à contribution son expérience de cadre du secteur des ressources en eau. Son intervention a consisté à mobiliser les moyens et apporter son assistance technique, sans lesquels la réparation de la panne aurait pris un peu plus de temps. Quant aux agences ADE et la direction de l'hydraulique de Boghni, leurs agents et cadres se sont mobilisés jusqu'à une heure tardive de la nuit pour affronter un terrain difficile, d'autant que le lieu de passage de la conduite d'adduction a subi un grand affaissement. Cette situation a compliqué pendant quatre jours l'intervention des équipes dépêchées sur place, privées de moyens pour déterrer la conduite déviée de sa trajectoire. Avant hier, toujours avec l'intervention du maire de Draâ El-Mizan, un engin à chenille a été tracté pour faciliter les travaux, dans un terrain inaccessible et humide. Hier, selon le chef de l'agence ADE de Draâ El-Mizan, «la contribution de tout le monde a fini par porter ses fruits et en même temps cela nous servira d'expérience pour faire face à l'avenir à de telles urgences», dira-t-il. Durant les cinq jours passés sans eau dans les robinets, les présidents d'APC ont déployé tous les moyens dont ils disposaient pour approvisionner les écoles et les centres de santé en eau potable. Sur ce registre, il faut savoir que les fontaines publiques, réalisées par des bienfaiteurs dans certains quartiers de la ville de Boghni, ont été salutaires en permettant aux ménages de s'y approvisionner. Les sources naturelles de Taburt El Ainsar, dans la commune d'Assi Youcef, ainsi que Tala Uguelid de Mechtras n'ont pas manqué de visiteurs pour remplir les jerricans. L’autre enseignement retenu à travers cette crise qui commence à s'atténuer progressivement, c'est la prise de conscience chez les citoyens de la nécessité de préserver l'eau aux moments de sa disponibilité, en rationalisant son utilisation. Côté collectivités, le recours aux anciens réseaux a été une occasion de vérifier leur fiabilité. Il faut savoir que le transfert d'eau quotidien vers le sud de la wilaya se compte par dizaines de milliers de m3, ce qui dénote l'ampleur de l'investissement de l'Etat pour permettre une distribution régulière du liquide précieux vers les points les plus reculés de la wilaya de Tizi-Ouzou. Enfin, il faut saluer le civisme des abonnés de l'ADE qui ont pris leur mal en patience en faisant confiance aux services de l'ADE pour la prise en charge l'incident signalé.

    Merzouk Haddadi

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  • Omar Cheballah à Mechtras city libre / 26 fevrier 2018.

    bonjour à tous, aujourd'hui on va se pencher sur le problème de l'eau qui dure ça fait plus de 03 jours, la panne est survenue à KOUDIAT ASSERDOUN à BOUIRA, mais malgré toute cette panique, la commune de MECHTRAS n'a pas croisé les bras en attendant la réparation de cette panne. elle a mis un camion citerne pour alimenter d'abord en premier les édifices publiques surtout les écoles avec la période d'examens. et certains quartiers sont directement alimentés par la fontaine de TALA OUGUELID.
    Concernant le village ait imghour qui ne fait que profiter des occasions pareils (je dis pas tous le monde) pour sortir des rumeurs sur la commune donc sur le P/APC qui est moi, je vous informe que si le problème persiste et que un seul camion citerne ne peut pas satisfaire toute la commune avec ses villages, on vas tous être obligé de retourner à la bonne vielle méthode: utiliser l'âne, et on aura pas honte parce que cet animal a bâti la Kabylie, la honte c'est de rester chez soi attendre le sifflement de son robinet.

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  • Par DDK | Il ya 9 heures 33 minutes | 903 lecture(s)

    Omar Cheballah, maire de Mechtras

    «La priorité c’est d’achever les projets en chantier»

     

    Le nouveau maire de Mechtras, Omar Cheballah, revient dans cet entretien sur l’état des lieux de sa commune. Il aborde les grands axes de son programme.

     

    La Dépêche de Kabylie : Face aux traditionnels partis comme le FLN, le FFS et le RCD, votre liste indépendante Izuran a pu avoir une majorité, même partielle. Comment l’expliquez-vous ?
    Omar Cheballah : Par notre présence sur le terrain. J’ai été élu à deux reprises consécutives (2005/2012 et 2012/2017). Nous n’avons ménagé aucun effort pour servir l’intérêt général de la commune. C’est une reconnaissance dont nous sommes fiers. Nous avons aussi eu un discours franc avec la population lors de la campagne électorale, où notre seule promesse fut de travailler dans la transparence et la collégialité, selon les moyens disponibles.

    Mais vous avez eu des difficultés à installer votre exécutif…
    En effet, ce n’était pas facile. Notre liste a obtenu 6 sièges, le RCD 4, le FLN 3 et le FFS 2. Il se trouve que l’opposition a exigé trois vice-présidences et trois commissions, une manière de nous bloquer. Heureusement, il y a encore des élus soucieux du développement de leur commune qui placent l’intérêt général au-dessus de toute autre considération. Je leur rends hommage. Ils ont voté notre proposition qui consistait à garder pour nous les 4 vice-présidences et 1 commission et de confier 1 commission à l’élu du RCD et 1 autre à celui du FLN. Nous avons ainsi la majorité et le travail a déjà commencé.

    Quelles sont les priorités de votre plan d’action ?
    La priorité des priorités est la mise en service du nouveau siège de l’APC. Un projet qui traine depuis 2008 et qui a englouti 4 milliards de centimes dans le cadre des PCD. Les travaux sont presque achevés, reste le problème de la chaufferie pour laquelle nous avons établi une fiche technique de 4 millions de dinars, que nous prendrons en charge dans le cadre des PCD 2018. Nous ferons le maximum pour ouvrir ce siège d’ici la fin du premier trimestre de l’année en cours. La bibliothèque communale est elle aussi à la traine. Nous organiserons un volontariat pour nettoyer le site en vue de permettre aux entreprises de reprendre les travaux et de les terminer dans les meilleurs délais. La direction de la culture sera ensuite saisie pour son équipement et l’affectation de personnel. Ces deux projets doivent aboutir dans les meilleurs délais.

    Qu’est-ce qui est prévu pour les secteurs du sport et de la culture ?
    Concernant le secteur du sport, nous disposons d’un stade communal gazonné. Il reste la construction de gradins. Le ministre de la Jeunesse et des sports, lors de sa dernière visite, s’est engagé à nous inscrire un projet dans ce sens. Nous attendons toujours. A Ait Imghour, nous avons une aire de jeux, nous avons reçu 2,5 millions de dinars de l’APW de Tizi Ouzou pour l’aménager. Nous solliciterons la DJS pour la pose de tartan. Nous envisageons aussi la réalisation d’une salle de sport spécialisée dans l’enceinte de la maison de jeunes du chef-lieu.

    Que ferez-vous pour améliorer l’état du secteur de la santé ?
    En effet, notre commune n’est pas bien lotie dans ce secteur, nous ne comptons que 3 salles de soins pour plus de 13 000 habitants. Nous allons frapper à toutes les portes pour obtenir l’inscription d’une polyclinique. Les hauts responsables du secteur doivent savoir qu’à Mechtras les malades galèrent. Les parturientes continuent de subir les affres des longs déplacements pour donner la vie. Nos malades chroniques et nos personnes âgées font des kilomètres pour de simples analyses médicales, des radiographies X ou pour une simple consultation.

    L’environnement est également en souffrance et les risques sur la santé publique sont multiples. Quel est votre programme pour protéger la ressource hydrique, la faune et la flore ?
    La solution réside dans la concrétisation de la station d’épuration inscrite au profit de notre commune. Ce projet était gelé, mais à présent que le dégel des projets entrant dans le secteur de l’hydraulique a été décidé, les oppositions levées, l’assiette disponible, nous demandons aux responsables concernés de passer à l’action avant qu’il ne soit trop tard. Notre région est riche en ressources hydriques, mais d’innombrables tronçons d’assainissement se déversent dans les oueds et les ravins. C’est une véritable épée de Damoclès qui pend sur nos têtes. Concernant la collecte des ordures ménagères, elle s’est sensiblement améliorée depuis l’engagement d’une entreprise privée.

    Vous parlez de richesse hydrique, pourtant, plusieurs quartiers à Mechtras manquent d’eau même en hiver…
    C’est en effet un grand paradoxe. Le problème ne peut donc résider que dans la gestion de cette ressource. A Ihesnaouen, Aït Ali Aissa, et surtout au quartier Alma N dinar, les citoyens souffrent de manque d’eau été comme hiver. Nous demandons à l’ADE de revoir sa copie. Pour notre part, nous avons veillé par exemple à ce que La fontaine du roi, qui jouit d’un fort débit et qui a été sabordée en 2010, soit réaménagée. Les installations ont été refaites et nous avons réservé une enveloppe financière pour son aménagement et son exploitation, afin de renforcer la distribution de l’eau.

    De nombreux foyers ne sont toujours pas raccordés au gaz naturel ni à l’électricité, qu’allez-vous faire pour y remédier ?
    Le taux de raccordement au gaz naturel dans notre commune est de 85%, mais il subsiste en effet beaucoup de foyers et de quartiers, tels Tazrout et Bouaquala entre autres, qui ne sont pas raccordés. La direction concernée sera interpellée. Concernant le réseau de l’électricité, aucun projet d’extension n’a été réalisé depuis 2012, pourtant la liste des foyers en attente de raccordement a été établie. C’est le cas aussi pour la fibre optique qui n’existe qu’au chef-lieu. Des démarches seront entreprises auprès des directions concernées pour améliorer la situation. De toutes les manières, la volonté d’avancer est là, même si la conjoncture économique actuelle n’est pas très favorable. Nous demandons à nos concitoyens d’être patients et nous leur promettons que tout se fera progressivement selon les priorités. Nous avons une seule ligne politique à suivre, c’est celle du développement.
    Entretien réalisé par Hocine T.

     
     
        
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  • Moula Siyoucef
     21 h · 
     

    La plupart des parents d'élèves se montrant inquiets de la grève enclenchée par le CNAPESTE, pas pour cause des cours que leurs enfants ratent ou pour les connaissances qu'ils perdent mais tout simplement parce qu'ils n'arrivent pas à supporter leur présence à la maison toute la journée. L'école selon eux, n'est pas un lieu de savoir et d'apprentissage mais une simple garderie qui sert de refuge contre les agacements et les "cassements" de tête de leur progéniture.

     
     
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    Said Benameur
    Said Benameur Pourquoi ces même parents ne se manifestent-ils pas pour un emploi après de longues études? .
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  • FIL D'ARIANE

    Opinion

    Entre la Nouvelle-Zélande et l'Algérie, il n'y a pas que la distance géographique

     Jacinda Ardern, 37 ans, première ministre de la Nouvelle Zélande.

    La Première ministre de Nouvelle-Zélande vient d'annoncer qu'elle était enceinte et qu'elle prendrait quelques semaines pour accoucher puis reprendre son poste de Premier ministre du pays. Oui, cela est possible, à des années lumière de notre Code de la famille.

    Alors que la femme algérienne est une demi-part, une portion de citoyenne engoncée dans une terrible chape vestimentaire moyenâgeuse, voilà que cette dame et ce pays nous stupéfient par une remarquable décision.

     

    Non seulement la nouvelle nous réjouit et surprend bien des pays modernes dans le monde mais cela constitue certainement une avancée considérable pour l'image de l'humanisme et de la démocratie.

    Si ces autres pays modernes ont encore un très long chemin à parcourir pour parvenir à cet exemple qui vient d'être donné au monde, nous avons l'impression que les algériens vivent dans une autre planète où l'abrutissement religieux et mental les a coupés de toute lumière.

    Quoi de plus naturel que ce que vient d'annoncer cette femme politique puisque ce n'est ni plus ni moins la conséquence directe et sans détour du premier article de la déclaration des droits de l'Homme. Nulle femme ne saurait être privée de son droit à assumer de hautes fonctions d’État par le simple fait d'être mère ou sur le point de l'être.

    L'état de maternité n'est pas une affaire féminine mais celle d'un couple et donc doit être assumé par l'ensemble de la population comme un état naturel et non un risque, un drame ou une sanction.

    Il faut dire que la Nouvelle-Zélande fut le premier pays à reconnaître le droit de vote aux femmes, soit en 1893. La France, pays supposé des droits de l'Homme, ne l'a accordé qu'au lendemain de la Seconde Guerre mondiale.

    Comme il est normal et naturel que cela se passe, le couple a pris ses dispositions privées pour que l'époux puisse prendre la relève en interrompant sa carrière dans l'audiovisuel, le temps de la prise en charge du nouveau né durant les mois qui suivront.

    L'argument selon lequel une charge aussi lourde que celle de Premier Ministre est incompatible avec une interruption de grossesse est absurde. Un accouchement n'est pas une hospitalisation qui paralyse les dispositions mentales de la personne et le rétablissement est, de nos jours, incroyablement rapide vu l'excellence des conditions médicales. L’Intérim sera assumé par le Vice Premier ministre, un point c'est tout.

    Tout cela n'est pas possible en Algérie, non ?

    Pourtant, nous avons un homme gravement malade au pouvoir qui ne peut assumer aucune prise en charge du pouvoir présidentiel si ce n'est bégayer quelques mots, trembler comme une feuille et avoir le regard aussi lointain que celui d'un mort vivant.

    Nous avons donc plus qu'une interruption pour grossesse au sommet de l’État mais une vacance de pouvoir de plusieurs années. Qui a trouvé à y redire ?

    Auteur
    Sid Lakhdar Boumediene
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  • Par DDK | 2 Janvier 2018

    APC de Mechtras - À la faveur du ralliement d'un élu RCD

    L'exécutif installé à voix égales

     Le nouveau président de l'APC de Mechtras a pu installer son exécutif communal, au terme d'une assemblée ordinaire tenue, hier, à la mairie. A la faveur d'un vote à main levée auquel ont pris part 14 élus et un autre par voie de procuration, la proposition du maire de constituer un exécutif issu dans sa totalité de la liste indépendante Izuran, a eu l'aval de 7 élus sur les 15 que compte l'Assemblée. L'abstention d'un élu FLN et le ralliement d'un élu RCD qui a préféré mandater un élu de la liste Izuran pour voter en son nom et place, ont donné lieu à une égalité de voix. La voix du président étant prépondérante, la délibération portant la constitution de l'exécutif sera approuvée par la tutelle. Ce scénario, auquel beaucoup d'observateurs locaux ne s'attendaient pas, profitera au président de l'APC, du fait que les quatre vice-présidents, en l'occurrence Benakli Essaid, Ben Amrane Mohamed, Larbani Mahfoudh et Dahmani Mohamed Akli, sont tous des élus de la liste Izuran. Quant aux commissions, Omar Cheballah, installé officiellement au début du mois dans ses fonctions, a annoncé qu’il procèdera à leur installation prochainement.

    Merzouk Haddadi.

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  • Une quarantaine de boulangers poursuivis en justice pour avoir augmenté le prix du pain à Bouira

     Une quarantaine de boulangers sont poursuivis en justice à Bouira pour avoir augmenté le prix de la baguette de pain à 15 da, a appris l'APS dimanche auprès des services du commerce de la wilaya. "Les boulangers ayant augmenté le prix du pain à 15 dinars dans la wilaya de Bouira, au nombre de 40, sont poursuivis en justice. Ils ont reçu dimanche leurs procès-verbaux", a expliqué Mustapha Mihoubi, chef de service de contrôle des pratiques commerciales à la direction local du commerce. "L'augmentation qu'a connue ces derniers jours la baguette de pain (à Bouira) est illégale et anarchique, et ses auteurs sont tous poursuivis en justice", a-t-il encore précisé. Depuis quelques jours, la baguette de pain se vend à 15 dinars à travers plusieurs régions de la wilaya de Bouira, une hausse subite ayant soulevé les inquiétudes et la colère des citoyens. Des boulangers ont annoncé cette augmentation unilatérale par de simples affiches collées aux mûrs, suscitant une véritable polémique autour du sujet. APS

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  • Le deuxième plus grand réseaux social, le russe VK, s’est décliné en langue kabyle depuis ce début du Mois d’octobre 2017.

     

    Rejoignant ainsi plusieurs outils kabylisés et publiés depuis plusieurs mois déjà. La version de VK est encore en test mais elle est accessible au grand public. Cette version béta disponible en ligne est accessible via le lien https///vk.com.

    Ce projet lancé il y a plusieurs mois par des localisateurs/traducteurs kabylophone, s’ajoute à d’autres projets localisés auparavant et qui ont permis la publication en langue kabyle de plusieurs outils informatiques de renom mondiale tel que le navigateur Firefox disponible aujourd’hui dans la langue de Mamméri sur toutes les plateformes : Windows, Linux, macOS, Android et iOS.

     

    Pour rappel, les contributeurs kabylophones ont traduit des dizaines d’autres applications et ont lancé plusieurs autres projets dont les plus importants sont Linux, des distributions tierces d’Android, des plateformes de traduction en ligne, des outils de traitement de textes, des solutions d’apprentissage en ligne, des outils techniques…. en langue kabyle moderne.

    L’équipe qui traduit les outils est actuellement sur des projets de production de contenus numériques en langue kabyle sur Wikipédia, la fameuse encyclopédie mondiale et le Wikitionnaire, le plus grand dictionnaire au monde.

    Ces projets participatifs et collaboratifs permettront de diffuser la culture et langue kabyle à travers Internet et le numérique en général et ouvriront la porte aux locuteurs d’expérimenter d’autres horizons pour donner de la valeur et de la visibilité à notre langue mais aussi créer des opportunités pour permettre de travailler et de gagner sa vie en utilisant sa langue maternelle que ce soit en Algérie ou à travers le monde.

    Mohamed Belkacem

    Localisateur en langue kabyle

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  • Par DDK | 21-09-2017

    TIZI-OUZOU Il s’en sort avec six points de suture

    Le maire de Mechtras agressé

    Le maire FLN de Mechtras, Arab Tebbakh, a été victime, mardi dernier, d’une agression à l’arme blanche. Il s’en sort avec six points de suture sur la joue gauche. Son agresseur, répondant aux initiales S. A., un jeune âgé d’une trentaine d’années de la même localité, s’est rendu à la brigade de la gendarmerie locale. «En sortant de la mairie, mardi dernier vers 16 heures, j’ai été intercepté par ce jeune me menaçant à l’aide d’une arme blanche (un disque pour meuleuse). L’intervention des présents lui a donné l’occasion de m’approcher de plus près et de m’asséner un coup au visage avec le disque, ce qui m’a causé une blessure profonde au niveau de la joue gauche, assortie de six points de suture», révéla le maire. Le mobile de l’agression serait, selon le P/APC, une affaire liée à «l’annulation d’un contrat de location d’un local commercial attribué à la sœur de l’agresseur par l’APC». À signaler que le maire a déposé plainte à la brigade de gendarmerie de Mechtras qui a ouvert une enquête, pour élucider les causes et les circonstances de l’agression. Pour rappel, ce même P/APC a été victime d’une autre agression en juin dernier, sa voiture personnelle (une chevrolet optra) a été incendiée par un ou des inconnus, dans la nuit du 28 au 29 juin dernier. Une plainte a été déposée et l’enquête est toujours en cours.

    G. A.

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  • Un wali limoge sa directrice de l’Éducation pour refus d’arranger le bulletin de notes de son fils

      Scandale à Sidi Bel Abbès. Le wali a limogé la directrice de l’Éducation de la wilaya pour avoir refusé d’arranger le bulletin de notes de son fils, a-t-on appris de source syndicale, ce jeudi 7 septembre.

      « La directrice a été démis de ses fonctions après avoir refusé d’arranger le bulletin scolaire du fils du wali », affirme le syndicaliste.  « C’est un licenciement abusif. C’est scandaleux », s’indigne-t-il.

       

       

      «Toutes les méthodes illégales utilisées par le wali pour assurer le passage de son fils à une classe supérieure se sont soldées par un échec. Ses services ont commencé donc par mettre la pression sur les enseignants, ces derniers n’ont pas cédé. Alors, ils ont choisi une autre cible plus haute, la directrice de l’Éducation qui, pour sa part, a rejeté leurs requêtes », détaille le syndicat.

      Ce refus lui a coûté son poste de directrice de l’Éducation de la wilaya. « La directrice a reçu une lettre de fin de fonctions le 28 août dernier accompagnée d’un ordre d’évacuation du logement de fonction qu’elle occupait depuis 2014 », précise la même source.

      Contacté, le cabinet du wali de Sidi Bel Abbes répond : « Monsieur le Wali est en réunion».Nos tentatives de joindre le ministère de l’Éducation nationale sont restées vaines.

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    • Appel à la fermeture de la moquée de la ville de Tigzirt

      mosquée de Tigzirt

      TIZI WEZZU (Tamurt) – Quelques jours après le drame qui a secoué la ville côtière de Tigzirt, située à environs 40 kilomètres au nord de Tizi Wezzu, où un muezzin salafiste de 40 ans a été égorgé, des appels fusent de partout dans la région de la Kabylie maritime pour fermer la mosquée de la ville de Tigzirt.

      Une mosquée sous l’emprise des salafistes radicaux, dont fait partie la victime, font savoir les habitants de cette localité, connue naguère pour sa sérénité et son calme légendaire. La mosquée de Tigzirt est la source de trop de problèmes et d’insécurité. « On se demande comment ces salafistes nourrissent leurs familles alors qu’ils ne travaillent même pas. Ils passent leur temps à endoctriner les jeunes, en ciblant les plus vulnérables. Certains d’entre eux sont même polygames et on ne sait même pas d’où vient l’argent avec lequel ils mènent un train de vie d’aisés.

      La mosquée de cette ville a créé les plus grands problèmes de la région, à cause de ces salafistes qui la contrôle. Elle doit être fermée et c’est la seule solution. Les fidèles doivent rester dans les mosquée de leurs villages respectifs », préconise un jeune étudiant de la ville qui fait partie des initiateurs à l’appel de la fermeture de la mosquée de la ville de Tigzirt. » Tous les lieux de cultes, mosquées ou églises, qui sont la source de l’instabilité dans notre région, voire dans toute la Kabylie, doivent être fermés dans les plus brefs délais », ajoute notre interlocuteur.

      Ravah Amokrane pour Tamurt

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    • Le ministère de l’Intérieur a appelé l’ensemble des citoyennes et citoyens détenteurs d’une carte nationale d’identité (classique) arrivant à expiration avant la fin de l’année 2018 ainsi que les candidats au baccalauréat de 2018 à se rapprocher des services compétents auprès des daïras et communes pour effectuer une demande de Carte Nationale d’Identité Biométrique Electronique (CNIBE).

       

      Le ministère de l’intérieur s’est adressé dans un communiqué publié hier mardi sur son site internet, aux détenteurs de la carte nationale d’identité classique dont la validité arrive à expiration avant la fin de l’année 2018, pour les appeler à effectuer une demande de CNI électronique.

      Le même communiqué a indiqué que les candidats au baccalauréat 2018 sont également priés de se présenter aux services compétents afin de se faire délivrer une CNIBE leur permettant d’accéder aux centres d’examens le jour du BAC. Il est toutefois souligné que les citoyennes et citoyens disposant d’un passeport biométrique électronique peuvent demander leur Carte Nationale d’Identité Biométrique Electronique directement sur le site web du Ministère.

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