• Ali Zamoum et K Yacine

       
     
      
     "Je suis Amazigh historiquement, moralement, physiquement et intellectuellement. Je le suis, non pas par revanche, mais pour dire que je suis complètement fier de l’être.".
    Kateb Yacine.
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  • Souvenirs / Hôpital de Boghni

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  • Portugal vient de Portucale, nom d’une place forte à l’embouchure du Douro qui donna son nom au premier comté chrétien créé dans la région (Condado Portucalense). La localité était déjà connue au Ve siècle sous le nom de Portus Cale, c’était la principale place forte du Royaume des Suèves (409-585).

    Portus en latin, Porto, en portugais. De par son nom, le Portugal semble avoir été voué dès l’origine a être un port sur l’Atlantique.

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  • L'explication de l'origine du nom Sénégal reste controversée. Dès 1850, l'abbé David Boilat, quarteron et fils de signare (riche commerçante métisse), y voyait dans ses Esquisses sénégalaises une déformation de l'expression wolof suñu gaal, c'est-à-dire « notrepirogue ». Très populaire, c'est la version la plus souvent relayée par les médias. Elle est pourtant contestée depuis les années 1960 et plusieurs autres étymologies ont été avancées, par exemple celle qui rattache le toponyme à une tribu berbère du Sahara, les Zenaga. Mais le débat scientifique pencherait plutôt en faveur des Zenaga ou Sanhadja aujourd'hui. En effet certains[Qui ?] disent que le nom vient du berbère signifiant le point de retour des Berbères, syin id noughal.

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  • Algérie, Manifeste des 121. «Déclaration sur le droit à l'insoumission dans la guerre d'Algérie»
    Par Jean-François SIRINELLI — 12 janvier 1998 à 22:16
    1960. Cet appel, qui prône la désobéissance militaire et l'indépendance de l'Algérie, est l'un des plus célèbres brûlots du siècle. Il fut d'emblée censuré.
     
    Algérie, Manifeste des 121. «Déclaration sur le droit à l'insoumission dans la guerre d'Algérie»
    «Un mouvement très important se développe en France, et il est

    nécessaire que l'opinion française et internationale en soit mieux informée, au moment où le nouveau tournant de la guerre d'Algérie doit nous conduire à voir, non à oublier, la profondeur de la crise qui s'est ouverte il y a six ans.

    De plus en plus nombreux, des Français sont poursuivis, emprisonnés, condamnés, pour s'être refusés à participer à cette guerre ou pour être venus en aide aux combattants algériens. Dénaturées par leurs adversaires, mais aussi édulcorées par ceux-là mêmes qui auraient le devoir de les défendre, leurs raisons restent généralement incomprises. Il est pourtant insuffisant de dire que cette résistance aux pouvoirs publics est respectable. Protestation d'hommes atteints dans leur honneur et dans la juste idée qu'ils se font de la vérité, elle a une signification qui dépasse les circonstances dans lesquelles elle s'est affirmée et qu'il importe de ressaisir, quelle que soit l'issue des événements.

    Pour les Algériens, la lutte, poursuivie, soit par des moyens militaires, soit par des moyens diplomatiques, ne comporte aucune équivoque. C'est une guerre d'indépendance nationale. Mais, pour les Français, quelle en est la nature? Ce n'est pas une guerre étrangère. Jamais le territoire de la France n'a été menacé. Il y a plus: elle est menée contre des hommes que l'Etat affecte de considérer comme français, mais qui, eux, luttent précisément pour cesser de l'être. Il ne suffirait même pas de dire qu'il s'agit d'une guerre de conquête, guerre impérialiste, accompagnée par surcroît de racisme. Il y a de cela dans toute guerre, et l'équivoque persiste.

    En fait, par une décision qui constituait un abus fondamental, l'Etat a d'abord mobilisé des classes entières de citoyens à seule fin d'accomplir ce qu'il désignait lui-même comme une besogne de police contre une population opprimée, laquelle ne s'est révoltée que par un souci de dignité élémentaire, puisqu'elle exige d'être enfin reconnue comme communauté indépendante.

    Ni guerre de conquête, ni guerre de "défense nationale, ni guerre civile, la guerre d'Algérie est peu à peu devenue une action propre à l'armée et à une caste qui refusent de céder devant un soulèvement dont même le pouvoir civil, se rendant compte de l'effondrement général des empires coloniaux, semble prêt à reconnaître le sens.

    C'est, aujourd'hui, principalement la volonté de l'armée qui entretient ce combat criminel et absurde, et cette armée, par le rôle politique que plusieurs de ses hauts représentants lui font jouer, agissant parfois ouvertement et violemment en dehors de toute légalité, trahissant les fins que l'ensemble du pays lui confie, compromet et risque de pervertir la nation même, en forçant les citoyens sous ses ordres à se faire les complices d'une action factieuse et avilissante. Faut-il rappeler que, quinze ans après la destruction de l'ordre hitlérien, le militarisme français, par suite des exigences d'une telle guerre, est parvenu à restaurer la torture et à en faire à nouveau comme une institution en Europe?

    C'est dans ces conditions que beaucoup de Français en sont venus à remettre en cause le sens de valeurs et d'obligations traditionnelles. Qu'est-ce que le civisme, lorsque, dans certaines circonstances, il devient soumission honteuse? N'y a-t-il pas des cas où le refus est un devoir sacré, où la "trahison signifie le respect courageux du vrai? Et lorsque, par la volonté de ceux qui l'utilisent comme instrument de domination raciste ou idéologique, l'armée s'affirme en état de révolte ouverte ou latente contre les institutions démocratiques, la révolte contre l'armée ne prend-elle pas un sens nouveau?

    Le cas de conscience s'est trouvé posé dès le début de la guerre. Celle-ci se prolongeant, il est normal que ce cas de conscience se soit résolu concrètement par des actes toujours plus nombreux d'insoumission, de désertion, aussi bien que de protection et d'aide aux combattants algériens. Mouvements libres qui se sont développés en marge de tous les partis officiels, sans leur aide et, à la fin, malgré leur désaveu. Encore une fois, en dehors des cadres et des mots d'ordre préétablis, une résistance est née, par une prise de conscience spontanée, cherchant et inventant des formes d'action et des moyens de lutte en rapport avec une situation nouvelle dont les groupements politiques et les journaux d'opinion se sont entendus, soit par inertie ou timidité doctrinale, soit par préjugés nationalistes ou moraux, à ne pas reconnaître le sens et les exigences véritables.

    Les soussignés, considérant que chacun doit se prononcer sur des actes qu'il est désormais impossible de présenter comme des faits divers de l'aventure individuelle, considérant qu'eux-mêmes, à leur place et selon leurs moyens, ont le devoir d'intervenir, non pas pour donner des conseils aux hommes qui ont à se décider personnellement face à des problèmes aussi graves, mais pour demander à ceux qui les jugent de ne pas se laisser prendre à l'équivoque des mots et des valeurs, déclarent: ­ Nous respectons et jugeons justifié le refus de prendre les armes contre le peuple algérien.

    Nous respectons et jugeons justifiée la conduite des Français qui estiment de leur devoir d'apporter aide et protection aux Algériens opprimés au nom du peuple français.

    La cause du peuple algérien, qui contribue de façon décisive à ruiner le système colonial, est la cause de tous les hommes libres.»

    Signataires: Arthur Adamov, Robert Antelme, Georges Auclair, Jean Baby, Hélène Balfet, Marc Barbut, Robert Barrat, Simone de Beauvoir, Jean-Louis Bedouin, Marc Begbeider, Robert Benayoun, Maurice Blanchot, Roger Blin, Arsène Bonnafous-Murat, Geneviève Bonnefoi, Raymond Borde, Jean-Louis Bory, Jacques-Laurent Bost, Pierre Boulez, Vincent Bounoure, André Breton, Guy Cabanel, Georges Condominas, Alain Cuny, Dr Jean Dalsace, Jean Czarnecki, Adrien Dax, Hubert Damisch, Bernard Dort, Jean Douassot, Simone Dreyfus, Marguerite Duras, Yves Elleouet, Dominique Eluard, Charles Estienne, Louis-René des Forêts, Dr Théodore Fraenkel, André Frénaud, Jacques Gernet, Louis Gernet, Edouard Glissant, Anne Guérin, Daniel Guérin, Jacques Howlett, Edouard Jaguer, Pierre Jaouen, Gérard Jarlot, Robert Jaulin, Alain Joubert, Henri Krea, Robert Lagarde, Monique Lange, Claude Lanzmann, Robert Lapoujade, Henri Lefebvre, Gérard Legrand, Michel Leiris, Paul Lévy, Jérôme Lindon, Eric Losfeld, Robert Louzon, Olivier de Magny, Florence Malraux, André Mandouze, Maud Mannoni, Jean Martin, Renée Marcel-Martinet, Jean-Daniel Martinet, Andrée Marty-Capgras, Dionys Mascolo, François Maspero, André Masson, Pierre de Massot, Jean-Jacques Mayoux, Jehan Mayoux, Théodore Monod, Marie Moscovici, Georges Mounin, Maurice Nadeau, Georges Navel, Claude Ollier, Hélène Parmelin, José Pierre, Marcel Péju, André Pieyre de Mandiargues, Edouard Pignon, Bernard Pingaud, Maurice Pons, J.-B. Pontalis, Jean Pouillon, Denise René, Alain Resnais, Jean-Francois Revel, Paul Revel, Alain Robbe-Grillet, Christiane Rochefort, Jacques-Francis Rolland, Alfred Rosmer, Gilbert Rouget, Claude Roy, Marc Saint-Saëns, Nathalie Sarraute, Jean-Paul Sartre, Renée Saurel, Claude Sautet, Jean Schuster, Robert Scipion, Louis Seguin, Geneviève Serreau, Simone Signoret, Jean-Claude Silbermann, Claude Simon, René de Solier, D. de La Souchère, Jean Thiercelin, Dr René Tzanck, Vercors, J.-P. Vernant, Pierre Vidal-Naquet, J.-P. Vielfaure, Claude Viseux, Ylipe, René Zazzo.

    Publié à l'étranger («Tempo presente», «Neue Rundschau»), ce texte devait initialement paraître dans le n°4 du périodique «Vérité-Liberté» (septembre-octobre 1960) et «les Temps modernes» (octobre 1960), mais la censure s'y opposa: «le Monde» en signala toutefois l'existence dès le 6 septembre et donna la liste complète des signataires le 30 septembre.

    Une Arlésienne radicale Le «Manifeste des 121» est l'un des textes les plus connus de l'histoire des intellectuels. Le fait est doublement singulier. D'une part, parce qu'il est sur le moment une sorte d'Arlésienne: il est largement commenté, mais non publié. Ou, plus précisément, il est saisi. C'est le cas du périodique Vérité-Liberté, dont le gérant fut inculpé de provocation de militaires à la désobéissance, ou des Temps modernes, qui parut avec deux pages blanches en lieu et place du texte. D'autre part, ce manifeste n'est pas, tout compte fait, le plus fourni, en cet automne 1960, parmi ceux qui prennent parti pour l'indépendance de l'Algérie. Enseignement public, l'organe de la FEN, publie ainsi une bien plus imposante pétition, qui réunit aussi bien Roland Barthes, Georges Canguilhem et Jean Guéhenno que Jean-Marie Domenach, Vladimir Jankélévitch, Claude Lefort, Edgar Morin ou Paul Ricoeur. Il n'empêche. Le «Manifeste des 121», par ses positions plus radicales, fait l'événement. Une contre-pétition d'intellectuels de droite réunit plusieurs centaines de noms, jeunes universitaires ou académiciens établis, de Pierre Chaunu à Pierre Gaxotte et d'Antoine Blondin à Jules Romains: elle stigmatise cette «cinquième colonne» attaquant «notre pays» et «l'Occident». Cette guerre de pétitions est à l'image de la place alors occupée par la guerre d'Algérie dans le débat. Avec, en toile de fond, cette question rétrospective et complexe: quel a été, au bout du compte, le poids des mots des intellectuels dans le déroulement et le dénouement du conflit algérien? J.-F. S.

    Jean-François SIRINELLI

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  • Brahimi Salah évoque la politique nationale à Mechtras

     
     
     

    À l’initiative de la section de Rassemblement pour la Culture et la Démocratie (RCD), de la commune de Mechtras, une conférence-débat, a été organisée, vendredi 24 juin, à la maison de jeunes de ladite localité et animée par le Maitre Brahimi Salah, membre de conseil national du parti.

    Le conférencier à l’entame de son intervention, a indiqué que le mois de juin a laissé une tache noire dans l’histoire algérienne. Ce mois est marqué notamment,  par l’assassinat de deux grands hommes qui ont milité pour la liberté d’expression et combattu contre la corruption à savoir : le chanteur Matoub Lounès et l’ex président Mohamed Boudiaf.

    L’intervenant a mis ensuite, en exergue la situation de la politique actuelle du pays, en évoquant l’officialisation de Tamazight que M. Brahimi considère loin de statut réservé à langue arabe. « D’ailleurs l’Algérie a organisé deux manifestations culturelles en l’occurrence : Tlemcen capitale de la culture islamique et Constantine capitale de la culture Arabe, sans aucun événement sur Tamazight, c’est une preuve que le pouvoir a pris cette décision pour uniquement, calmer le peuple » A-il-précisé.            

    Par ailleurs, l’orateur a mis l’accent sur ce qu’il a appelé « le scandale de retour de Chakib Khelil » qui est revenu au pays malgré un mandat d’arrêt délivré contre lui. « Cet homme a été impliqué dans des affaires scandaleuses, il avait même un mandat d’arrêt délivré contre lui, et comment aujourd’hui il est de retour au pays ? Je salue le courage des hommes Kabyles qui ont empêché sa visite aux Zaouïas de notre région», a-t-il ajouté.

    A la fin, le membre de conseil national est revenu sur l’affaire de l’annulation de rachat de groupe El-Khabar par l’homme d’affaire Issad Rebrab et la plainte déposée contre lui par le ministre de la communication Hamid Grine « quand ils ont vu un investisseur propre  et qui a crée beaucoup de postes d‘emploi dans différentes wilayas, malheureusement ils l’empêchent à chaque fois de travailler parce qu’il n’est pas de leur clan»,  a-t-il conclu.    

    Toufik Larbani

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  • Albert Camus parle du peuple kabyle

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    La Page Thagastoise

    André ARIBI

    FIDÈLE JUSQU'AU BOUT

    Qui de Souk Ahras ne connaît pas le père André , ancien responsable de la pharmacie de l'hôpital régional ? Aujourd'hui à la retraite et très fatigué . Il est aux bons soins à la maison de convalescence de Hippone à Annaba.

    Malgré l'insistance de sa famille et de ses amis pour se faire soigner en France, il a refusé et refuse toujours d'user de ce privilège tant que tous les algériens n'y ont pas le droit. Aller se faire soigner en France pourtant son pays serait pour lui une trahison du peuple algérien avec qui, en toute liberté , il a choisi de vivre le bon et le mauvais. Prompt rétablissement André, tu es un exemple de sacrifice et de fidélité.

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  • Reste 1 jouer pour la rentrée scolaire ...école rersa said

    Photo de Ais Mah.
    Photo de Ais Mah.
    Photo de Ais Mah.
    Photo de Ais Mah.
    Photo de Ais Mah.

     
     
    Chira Brunette C'est une école ????? Bon de dieu en dirait une décharge public
     
    Said Benameur .Nos élus sont préoccupés par les élections à venir, les ordures de toutes sortes, ils ne peuvent même pas libérer 50 cm de trottoir pour nos enfants, en plus ils nous ferment le chemin raccourci qui mène vers l'école, la poste et la mairie, un chemin qui date d'avant les Turcs.
     
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  • Dans une rue à Blois en France.

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  • Quand il me manque quelque chose, je regarde cette photo. Un héros, sur le chemin de l'école. Respect

    L’image contient peut-être : chaussures, une personne ou plus et plein air
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